elle ne pouvait plus y danser, depuis que s’étaient fermés ces deux yeux si brillants et si vifs qui la regardaient avec amour.
Au second acte, Décius, en proie à l’amour, regarde sans plaisir au cours du festin que lui offre son ami Murena, les danses de deux esclaves grecs.
Cette jeune personne prétend, du reste, comme la servante du feu curé de Saint-Malo : « Que son cœur n’est pas fait pour vanner de l’avoine. » Regardons, — maintenant, — dans la Lorgnette : « Mademoiselle Courtin est une des pensionnaires les plus gracieuses de l’Académie.
La danse, après tout, n’a d’autre but que de montrer de belles formes dans des poses gracieuses et de développer des lignes agréables à l’œil ; c’est un rythme muet, une musique que l’on regarde.
Une heureuse conformation, surtout dans les hanches et les genoux, et une juste élévation dans les coudes-pieds (que je regarde comme les ressorts de la danse, parce que leurs mouvemens soutiennent le corps entier dans son équilibre), sont des dispositions physiques essentielles dans le sujet qui se destine à l’art de la danse.