On la réduisit dans les grands Ballets à la peinture momentanée de quelques caractères ; dans les Mascarades elle ne pouvait exprimer par des pas que le générique du personnage dont elle prenait les habits.
Sa matière, est le sujet que l’on veut représenter, sa forme, est le tour ingénieux qu’on lui donne, et sa figure se prend des differentes parties qui le composent : la forme constitue donc les parties de qualité, et l’étendue, celles de quantité.
Elle regarde la mort comme le remède le plus certain aux tourmens qu’elle endure ; elle prend la résolution de se précipiter dans le torrent ; elle embrasse Javotte ; court, monte sur un rocher ; et au moment où elle va s’élancer, elle apperçoit Colin et se jette dans ses bras.
Prenons une « tranche de vie ».
Chaque cavalier dans cette position, et la dame, qui se trouve alors à sa droite, se donnent la main droite en main droite, et font un tour entier sur place en partant de droite à droite, selon le sens que présente la main, et se retrouvent alors comme quand ils se sont pris ou donné la main qu’ils ne se quittent point, et en quatre mesures.