Les hommes dans toutes les classes ont des passions, des malheurs et un pathétique qui leur est propre ; celui de la nature, dépouillé des apprêts de l’art ne pourroit-il pas plaire ?
Elle s’en écarte un peu et, réfléchissant à ce qui se passe en elle, semble écouter la voix de sa passion naissante.
La presse se fit l’écho de la passion générale.
Dans le premier acte, son cœur est le jouet tour-à-tour de tous les mouvements de la passion la plus vive : dans le second elle vole à la vengeance, le fer brille, le bras est prêt à frapper ; l’amour l’arrête, et il triomphe.
Dans ce moment Sémiramis, Hélène, Médée, et Cléopâtre interrompirent le récit de la foi conjugale, en chantant les égarements de leurs passions.