Après cette plainte, les pères du concile disent : « Nous condamnons et réprouvons les ivrogneries, les disputes, les jeux mauvais et déshonnêtes, les danses, comme n’étant pleines que de folies, les mauvaises chansons ; en un mot, tout ce qui ne peut porter qu’à l’impureté, et généralement tout ce qui n’est qu’une profanation des saints jours de fêtes. » Le concile de Reims, tenu en 1583, au titre des jours de fètes, défend expressément de profaner ces saints jours par des jeux et des danses : Iisdem diebus, nemo ludibus, aut choreis det operam. […] Le concile de Bordeaux, tenu ensuite en 1624, parlant de la célébration des fêtes, commence par remarquer que le cœur de l’homme est si naturellement porté au mal, que ce que les saints pères ont autrefois établi pour réunir les peuples dans des assemblées de prières, ne sert plus, par un renversement étrange, qu’à les emporter dans différens excès.
Dans la suite, en effet, j’appris, par une tierce personne, qu’il avait déclaré à son père qu’il voulait m’épouser. […] Le père menaça de déshériter le fils.
Récemment, à Séville, Manuel de Falla a organisé un concours de chants andalous ; les « cantaors » amateurs se sont associés pour maintenir intactes les méthodes vocales de leurs pères et pour réagir contre l’attitude des professionnels qui déforment sans scrupule ce qu’il y a de plus précieux dans cet art de terroir.
Puis ce fut le tour de mon père. […] Le père balayait la neige dans les rues, pour gagner quelques sous, car, par ce froid, le moulin où il travaillait ne fonctionnait pas. […] Et pourtant notre gamin chantait en trottant derrière la voiture comme son père sifflait en balayant la neige.
Les Athéniens devaient revoir avec plaisir, dans les Intermèdes de leurs Tragédies, le tableau d’un événement dont leurs Pères avaient partagé la gloire.