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141. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32

Je garderai encore le silence sur les ornemens tant intérieurs qu’extérieurs qui peuvent l’embellir, mais je dirai avec les gens de goût que ce monument doit annoncer l’habitation des arts ; qu’il doit être simple, noble et élégant comme eux ; commode par la multitude des dégagemens et des sorties ; la partie sur la quelle j’oserai m’étendre, sera celle du théâtre, parce que mes connoissances m’y autorisent.

142. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260

Il est si naturel, son expression a tant de vérité, ses gestes, sa physionomie & ses regards sont si éloquents & si persuasifs, qu’ils mettent au fait de la Scene ceux mêmes qui n’entendent point l’Anglois ; on le suit sans peine ; il touche dans le Pathétique ; il fait éprouver dans le Tragique les mouvements successifs des passions les plus violentes, & si j’ose m’exprimer ainsi, il arrache les entrailles du Spectateur, il déchire son cœur, il perce son ame, & lui fait répandre des larmes de sang.

143. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Le bonheur t’a touché, mon cher enfant ; désormais le malheur n’osera plus t’approcher. » On ne pouvait faire un pas sans entendre parler de Fanny.

144. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Il n’aurait pas osé s’en ouvrir à Rahel, si sa lettre n’avait pas dû lui être transmise par un courrier autrichien, c’est-à-dire par un moyen plus sûr que la poste ordinaire.

145. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Celle-ci indignée qu’on osât souiller, par des récits aussi coupables, l’union pure des nouveaux époux, ordonna à ces reines criminelles de disparaître.

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