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158. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269

Je ne veux point ici obmettre une chose qui est en faveur de la Poésie : c’est que les épisodes font d’autant plus de plaisir dans la suite d’un Poëme, qu’elles y sont incréées & liées imperceptiblement ; au lieu que la Peinture peut bien représenter tous les faits d’une histoire par ordre, en multipliant ses tableaux ; mais elle n’en peut faire voir ni la cause ni la liaison.

159. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

L’une est une danseuse, c’est-à-dire une femme dont le charme est d’ordre physique, l’autre est la danse elle-même, c’est-à-dire un type d’art presque abstrait, une « idée » platonicienne, à peine revêtue de formes sensibles.

160. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

A l’ordre du lieutenant les rameurs se mirent en mouvement. « Quel magnifique spectacle, s’écria la divine Fanny, en voyant le bateau fendre les eaux !

161. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

Ce principe puisé dans la nature, et toujours sûr pour la Musique en général, est encore plus particulièrement applicable à la musique dramatique ; c’est un édifice régulier qu’il faut élever avec raison, ordre et symétrie : les symphonies et le chant sont les grandes parties du total, la perfection de l’ensemble dépend de l’expression répandue dans toutes ses parties.

162. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

» s’écrie-t-il, oubliant son rôle ;… puis, rappelé à l’ordre par un chut… et par l’écharpe tricolore du magistrat subalterne… il fait trois saluts et dit : « Madame, j’ai l’honneur de vous présenter mes respects.

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