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23. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1660 — 19 février : Ballet accompagnant Stilicon de Thomas Corneille — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 21 février 1660 »

mères et filles.

24. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-

*** Nous habitions à Passy, ma mère et moi, une maison située au milieu d’un jardin. […] Je voulais que l’homme jouât dans le jardin, derrière la maison, pour que ma mère, qui était paralysée, pût l’entendre. […] Je les fis asseoir sous un arbre, auprès du fauteuil de ma mère, et l’homme joua de l’accordéon jusqu’au moment où l’on vint nous avertir que le déjeuner était servi. […] Le jour vint pourtant où ma mère mourut. […] Pour l’instant il cherchait à se procurer un peu d’argent afin d’acheter du charbon à sa mère.

25. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »

Il en coûta peu de soins à sa mère, pour le distraire du Gouvernement que son imbécillité le mettait hors d’état de lui disputer ; mais le caractère de Charles IX prince fougueux qui joignait à quelque esprit un penchant naturel pour les beaux Arts, tint dans un mouvement continuel l’adresse, les ressources, la politique de la Reine. […] Henri III devait tout à sa Mère et il n’était point naturellement ingrat. […] Il donna un festin entre autres à sa Mère, où les femmes servirent déguisées en hommes.

26. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-

J’embarquai, après le dîner, mon agent et ma mère dans une voiture et je donnai l’adresse des Folies-Bergère, car je savais que mon agent, de son côté, avait écrit au directeur de ce grand music-hall. […] On me répondit que je pourrais être reçue seulement à l’issue de la représentation et on nous installa, ma mère, Marten Stein et moi, dans un coin du balcon d’où nous pûmes suivre le spectacle. […] Henri Hambourg, — Marten Stein, ma mère et moi.

27. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91

Il me prévient, par un mot, qu’il est forcé de s’arrêter à Lyon auprès de sa mère. […] J’avais perdu ma mère dès mes premières années, et j’étais aussi pur que la jeune fille dont je devenais l’époux. […] Mon pauvre père avait souhaité ce mariage pour moi, parce que la mère de ma femme avait été la meilleure amie de ma mère. […] La mère me reprocha de m’opposer aux distractions nécessaires, disait-elle, à la vie de son enfant.

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