mères et filles.
*** Nous habitions à Passy, ma mère et moi, une maison située au milieu d’un jardin. […] Je voulais que l’homme jouât dans le jardin, derrière la maison, pour que ma mère, qui était paralysée, pût l’entendre. […] Je les fis asseoir sous un arbre, auprès du fauteuil de ma mère, et l’homme joua de l’accordéon jusqu’au moment où l’on vint nous avertir que le déjeuner était servi. […] Le jour vint pourtant où ma mère mourut. […] Pour l’instant il cherchait à se procurer un peu d’argent afin d’acheter du charbon à sa mère.
Il en coûta peu de soins à sa mère, pour le distraire du Gouvernement que son imbécillité le mettait hors d’état de lui disputer ; mais le caractère de Charles IX prince fougueux qui joignait à quelque esprit un penchant naturel pour les beaux Arts, tint dans un mouvement continuel l’adresse, les ressources, la politique de la Reine. […] Henri III devait tout à sa Mère et il n’était point naturellement ingrat. […] Il donna un festin entre autres à sa Mère, où les femmes servirent déguisées en hommes.
J’embarquai, après le dîner, mon agent et ma mère dans une voiture et je donnai l’adresse des Folies-Bergère, car je savais que mon agent, de son côté, avait écrit au directeur de ce grand music-hall. […] On me répondit que je pourrais être reçue seulement à l’issue de la représentation et on nous installa, ma mère, Marten Stein et moi, dans un coin du balcon d’où nous pûmes suivre le spectacle. […] Henri Hambourg, — Marten Stein, ma mère et moi.
Il me prévient, par un mot, qu’il est forcé de s’arrêter à Lyon auprès de sa mère. […] J’avais perdu ma mère dès mes premières années, et j’étais aussi pur que la jeune fille dont je devenais l’époux. […] Mon pauvre père avait souhaité ce mariage pour moi, parce que la mère de ma femme avait été la meilleure amie de ma mère. […] La mère me reprocha de m’opposer aux distractions nécessaires, disait-elle, à la vie de son enfant.