/ 86
16. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Troisième lettre. A monsieur Juste Odoard, à Lyon. »

Je sais combien vous êtes attaché à votre mère adoptive, et je serais désolé de vous séparer d’elle avant de vous savoir parfaitement tranquille.

17. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269

Sa mère a sa chaise capitonnée à l’église. […] La mère travaille à la manufacture des tabacs. […] je vais devenir mère ! […] A mesure que la fille enfle, la mère maigrit. […] La mère a dansé à la Gaîté.

18. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-

Ma mère avait beau essayer de partager mes sentiments, elle ne pouvait chasser de pénibles pressentiments. […] Pour comble de malchance, ma mère tomba gravement malade. […] La maladie de ma mère se déclara si subitement qu’on imagina qu’elle était atteinte du choléra. […] Ma poche était vide, ma mère malade.

19. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Deuxième lettre. A monsieur le duc d’Autremont, au château d’Autremont. » p. 82

Lyon, le … Monsieur le duc, J’ai quitté Paris, comptant arriver chez vous après-demain, car je devais m’arrêter en route pour faire mes adieux à ma mère et rester un jour auprès d’elle.

20. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177

Le lendemain, je me promenais avec ma mère. […] J’eus peur pour ma mère, et j’étendis le bras vers l’équipage qui s’arrêta. […] Je leur expliquai tous mes jeux de lumière et mes danses, puis je pris congé et retournai auprès de ma mère qui m’attendait. […] Après avoir traversé le continent, j’allais m’embarquer avec ma mère, lorsque son état de santé me donna les plus vives inquiétudes. […] Une femme de cœur, même si elle est impératrice, ne peut condamner une fille pour avoir rempli son devoir vis-à-vis de sa mère.

/ 86