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65. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80

Après avoir lu Quintillien, Athenée, St.

66. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « I. Origines, composition, organisation. » pp. 1-13

J’ouvre ce contrat et j’y lis — à la date de 1841 : « Article XXXV. — Les entrepreneurs devront fournir SIX DANSEUSES DE PREMIER ORDRE ; Six autres pour doublures et remplacements.

67. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35

Zola… Elles ne le lisent pas : ah !

68. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

On a lu avec émotion le poème le Fils de l’Homme où Barthélemy racontait le voyage qu’il avait fait à Vienne pour voir le duc de Reichstadt, et l’on a suivi avec curiosité, en 1830, le procès auquel cette publication avait donné lieu. […] On croyait lire de l’inquiétude sur son visage, comme si elle se sentait menacée dans sa souveraineté absolue. […] Nous nous étonnons, quand nous lisons son article vide et prétentieux, que nos aïeuls aient pu goûter cette sentimentalité rance et prendre pour de la fantaisie les sautillements d’un esprit qui papillonnait autour du sujet, sans jamais en toucher le fond.

69. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445

J’étais à l’état sauvage, je ne savais pas lire et je sentais l’horreur de la misère sans m’en rendre compte. […] Il jugea nécessaire de m’apprendre à lire et à écrire, et de me faire changer mon patois contre la connaissance de la langue italienne ; mais là s’arrêtèrent mes leçons.

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