Finette a la réputation d’écrire des lettres charmantes. […] C’est beaucoup de travail, mais les lettres sont copiées dans le Secrétaire des Dames, ce qui simplifie la besogne. […] J’en ai vu qui pleuraient d’attendrissement sur ses lettres et qui riaient à ses discours. […] J’avais une lettre importante à écrire, et vraiment je ne savais comment la tourner. […] Dans cette lettre, je parlais du ciel bleu, du lac d’azur, des étoiles et de la lune ; le tout signé Rigolboche.
Lettres en vers à Madame la Duchesse de Nemours de la Gravette de Mayolas et Lettres en vers de Boursault57 57.
Robinet, lettre du 8 août 1666 Au COLLÈGE des JÉSUITES, Pères Savants, bons Casuites, Bref, Artisans des beaux Esprits, MARDI, l’on délivra les Prix Fondés par le Roi notre SIRE, Qui des LETTRES chérit l’Empire, Pour animer les STUDIEUX, Qui se font grands Hommes chez Eux, Une TRAGÉDIE excellente, Dont la Scène était fort brillante, Et même le BALLET du TEMPS, Des plus moraux et plus galants, Cette Action accompagnèrent Et tous les Spectateurs charmèrent.
Il reste à écrire d’après des documents authentiques la vie d’un Gardel, d’un Viganò, d’une Taglioni… Pour contribuer à ces futurs ouvrages, voici quelques lettres inédites de plusieurs chorégraphes ou danseuses célèbres. D’abord une lettre du fameux Gaetano Vestris qui offre un certain intérêt pour l’histoire de la danse sous la Révolution. Cette lettre est adressée d’Angleterre à Gardel. […] J’avais répondu d’avance, mon cher Gardel, à la lettre obligeante du 5 de ce mois, par celle que j’adressai dernièrement au Comité. […] Il serait intéressant de publier un recueil de lettres de Maria Taglioni.
Robinet, lettre du 15 février 1670 Le Divertissement Royal Dont la Cour fait son Carnaval, Est un Ballet en Comédie, Je ne crains point qu’on m’en dédie, Ou bien Comédie en Ballet, Qui, ce dit-on, grandement plaît, Par ses Récits, par ses Prologues, Et les amoureux Dialogues, De Bergères, et de Bergers, Constants en amour, non légers Mais c’est tout ce que j’en puis dire, Sinon que notre Auguste Sire Fait danser, et n’y danse point, M’étant trompé, dessus ce point, Quand, sur un Livre, j’allai mettre, Le contraire, en mon autre Lettre.