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129. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Jugez si les partisans de celle-ci crièrent au scandale, à la profanation, au matérialisme !

130. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

Quant aux scolies qui roulent sur l’amour et le vin, on en peut juger par les soixante et dix odes d’Anacréon qui nous restent : mais dans ces sortes de chansons même on voyait encore briller cet amour de la patrie et de la liberté dont les Grecs étaient transportés.

131. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

Si le bal de l’Opéra eût admis de telles mœurs, aux yeux des étrangers, qui s’obstinent encore à croire que c’est là qu’il faut juger la France, nous eussions apparu comme un peuple en état de démence et d’ivresse.

132. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Un prince plus ou moins turc, ayant manifesté le désir de causer de la question d’Orient avec la jeune fille, la mère a jugé convenable de ne pas recevoir la tête couronnée dans le domicile d’un être qui travaille pour les pieds humains, voilà ce qui a motivé la translation des meubles.

133. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

à l’imitation des anciens temples, et tels qu’on le voit au panthéon, dont on avait imité les ornements ; à la réserve cependant des bases que l’on jugea à propos de donner aux colonnes, pour s’accommoder à l’usage du siècle : elles y furent élevées sur des socles d’environ quatre pieds de haut, servant comme de repos aux balustrades de même hauteur qui étaient entre les entre-colonnements. […] On peut juger que les eaux admirables de tous ces jolis bosquets jouèrent pendant tout le temps que la Reine voulut bien y rester ; et la réflexion des coups de lumière qui partaient du nombre immense des lumières qu’on y avait répandues, augmentait et variait à tous les instants les charmes de cet agréable séjour.

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