Il n’est pas douteux que la mort d’Agamemnon, la vengeance d’Oreste, ses fureurs, ne fournissent les sujets de trois Drames ; tous les trois ont été traités par les Auteurs Anciens, et après eux par les Modernes ; ceux-ci n’ont pas cru devoir imiter servilement leurs prédécesseurs ; ils ont retranché des personnages, ils en ont substitué d’autres ; ils ont supprimé les chœurs ; chacun d’eux enfin s’est laissé entrainer à l’impulsion de son génie, à son imagination, et ils ont, pour ainsi dire, habillé les drames anciens au goût du siècle pour le quel ils écrivoient Mais il suffit de dire, sans entrer dans tous ces détails qu’un ballet n’est pas un drame, qu’une production de ce genre ne peut se subordonner aux regles étroites d’Aristote.
Chaque pain à cacheter a son parfum, son encens, son goût. […] La Lorette a ses joies, ses haines, ses goûts, ses soupçons, ses amours, qui ont leurs formules spéciales.
Il lui disait : « Il faut que les femmes et les jeunes filles puissent te voir danser sans rougir ; que ta danse soit pleine d’austérité, de délicatesse et de goût. » « Vestris voulait qu’on dansât comme à Athènes, en bacchantes et en courtisanes ; M.
… Le sentiment de la puissance… SOCRATE Tout ceci donne goût et couleur à la vie.
Un homme d’État, chez qui la politique n’avait point destitué l’esprit, le goût et l’enthousiasme, — M. de Gentz, — leur avait consacré plusieurs pages dans le volume de Correspondances qu’il venait de publier après avoir assisté au Congrès de Vienne.