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5. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. Seconde partie. — Chapitre XII. De la maniere de faire les bras avec les Pirouettez. » pp. 243-246

Quoique le Piroüetté soit de ces pas qui se fassent en place, & qu’il semble que l’on ne doit pas y faire beaucoup de façon ; néanmoins il demande autant d’application que les autres pas, & c’est en cela que je trouve l’étenduë de la danse ; puisque de ces pas mêmes qui nous paroissent les moins difficiles, naissent des graces infinies, quand on veut s’adonner à bien danser ; & c’est à quoi j’exhorte tous ceux qui voudront s’y perfectionner. […] Vous devez aussi observer que votre tête soit fort droite, pour conserver le corps dans son équilibre ; parce qu’il doit tourner sur un seul pied comme sur un pivot, & c’est ce que j’ai tâché d’exprimer dans ma Figure, en la faisant porter à plomb sur un seul pied, & regarder le bras gauche pour le conduire avec la justesse & la douceur que demande cette action. […] De plus, c’est que les danses de Ville qui ne sont que gracieuses par elles-mêmes, ne demandent que des mouvemens doux & remplis de beaucoup de noblesse.

6. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7

Notez que je ne demande pas ici, qu’elle est celle des deux nations qui excelle dans l’art musical, mais seulement quelle est celle qui l’aime le mieux. […] Je sens combien les enthousiastes vont se récrier : mais quand ils auront affirmé qu’en Italie on aime mieux la musique, je leur demanderai encore dans quel pays on l’aime de la meilleure façon ? je leur demanderai de plus, pourquoi ils quittent presque tous le pays où ils sont tant aimés ; je leur demanderai enfin si leur désintéressement leur fait chercher le peuple qui paye le moins ce genre de talent.

7. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285

Je me demandai comment il arriverait à se tirer d’affaire sans parler du tout. […] Je demandai à la vieille dame comment elle se portait. […] Puis soudain, j’eus l’idée de lui demander son âge. […] Mme Claretie me demanda si je connaissais Alexandre Dumas. […] Claretie me demanda qui était ce jeune homme.

8. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-

Je demandai à l’homme et à la femme s’ils avaient mangé. […] Je lui demandai s’il pouvait percevoir la différence des couleurs. […] demandai-je. […] lui demandai-je. […] — Et les fruits, demandai-je, et la salade ?

9. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — V, mes débuts aux folies-bergère » pp. 50-

Je demandai à voir le directeur. […] — Demandez à M. […] Marten Stein, à présent, transmettait ma demande. […] — Mais, demandai-je, y a-t-il encore d’autres danseuses de ce genre dans les théâtres de Paris ? […] Je demandai : — Et la dernière ?

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