Les dames furent adorables ; l’orchestre, — un piano et un violon, — joua ses danses les plus entraînantes.
Je saluai à nouveau les dames en robes superbes qui se pressaient dans les galeries, les hommes tous en habit noir, puis, passant dans ces mêmes galeries, je rejoignis, par le petit corridor, une salle des artistes où je m’habillai avant de partir.
Peu après mon début aux Folies-Bergère, une dame demanda à me voir.
XXX Dans le commencement de ce chapitre j’ai vaillamment déclaré n’avoir jamais rencontré un seul homme habile à parler aux dames.
Et voilà que le hasard me fait un matin, à l’aube, rencontrer à la gare de Silésie, une dame étrange enveloppée de voiles bruns aux plis gracieux, la tête couverte d’un morceau de feutre ramené vers les oreilles par un voile.