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77. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105

Les dames furent adorables ; l’orchestre, — un piano et un violon, — joua ses danses les plus entraînantes.

78. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-

Je saluai à nouveau les dames en robes superbes qui se pressaient dans les galeries, les hommes tous en habit noir, puis, passant dans ces mêmes galeries, je rejoignis, par le petit corridor, une salle des artistes où je m’habillai avant de partir.

79. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-

Peu après mon début aux Folies-Bergère, une dame demanda à me voir.

80. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185

XXX Dans le commencement de ce chapitre j’ai vaillamment déclaré n’avoir jamais rencontré un seul homme habile à parler aux dames.

81. (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268

Et voilà que le hasard me fait un matin, à l’aube, rencontrer à la gare de Silésie, une dame étrange enveloppée de voiles bruns aux plis gracieux, la tête couverte d’un morceau de feutre ramené vers les oreilles par un voile.

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