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112. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241

Ce mot a donc été employé a contre-sens, et la dénomination qui convient aux fêtes, aux jeux et aux cérémonies de l’antiquité est celle de marches figurées sur des choeurs de musique instrumentale et vocale.

113. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32

Cependant on voit de ces grands et magnifiques tableaux dans les opéras Italiens, naturellement décharnés, privés d’action, d’intérêt, et dénués des ressources immenses et des secours puissans que la réunion des arts et la multiplicité des talens nous offrent à l’opéra ; convenons de bonne foi qu’il nous reste encore de grands tableaux à imaginer, mais que les cadres nous manquent ; ou qu’ils sont trop petits.

114. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

… Le soleil a des taches… L’amalgame de perfections dont se composait mademoiselle Mafleuroy avait — lui aussi — son défaut… Ce défaut, — qu’Henri IV, dans sa rudesse béarnaise, n’aurait pas hésité à qualifier comme il convient, — Clotilde essayait, mais en vain, sinon de le corriger, du moins de l’atténuer, par toutes sortes de parfums, d’eaux de senteur et d’onguents… A un bal des Tuileries, la maréchale de M… répondait, en zézayant, suivant son habitude, à un cavalier qui sollicitait d’elle la faveur d’un quadrille : — Ze vous remercie, monsieur.

115. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Il fut convenu qu’on s’épouserait sérieusement, l’année prochaine.

116. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Celle-ci, après quelques courtes discussions qui avaient pour objet le bien qu’on avait à dire d’une si brillante cour, fit convenir la flatterie qu’on n’avait que faire d’elle pour célébrer les vertus d’une Reine adorée, qui comptait tous ses moments par quelque nouvelle marque de bonté.

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