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117. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Nouvelle européenne. » Le lendemain venait l’information suivante : « Deux danseuses célèbres à l’étranger et surtout en Allemagne, les demoiselles Elssler, ont été engagées par M.

118. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241

La première accompagnée d’une suite nombreuse de guerriers et d’héroïnes descend d’un char brillant attelé de superbes coursiers ; les guerriers et les guerrières au son des instrumens consacrés à la guerre, exécutent des danses caractéristiques ; ils forment en dansant plusieurs figures militaires, et mêlent à leurs jeux tantôt l’image des combats avec les sabres et les boucliers, tantôt celle de la lutte ; ils accompagnent ces exercices de voltes, d’évolutions ; les vainqueurs sont couronnés des mains de la gloire ; on les porte en triomphe ; on danse autour d’eux ; on célèbre leur victoire ; les arbres de la forêt sont chargés de trophées ; tout est martial, tout peint la valeur, tout exprime le courage ; tout parle enfin en faveur de la gloire, qui embellit elle-même cette fête.

119. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Les machines nouvelles qui, pendant le long cours de ces fêtes magnifiques, parurent les plus dignes de louange, furent, 1°. celle qui d’un coup d’œil changeait une belle salle de spectacle en une magnifique salle de bal : 2°. celle qui servit aux travaux et à la chute des Titans, dans l’opéra de M. de Bonneval, mis en musique par M. de Blamont surintendant de celle du Roi, auteur célèbre des Fêtes grecques et romaines : 3°. les cataractes du Nil et le débordement [voir Débordement] de ce fleuve. […] L’histoire, les relations, les mémoires, nous apprennent ce que les hommes célèbres ont fait. […] Mondonville, eurent l’honneur de se trouver à la suite de Thésée, cet ouvrage si fort d’action ; d’Alceste, le chef-d’œuvre du merveilleux et du pathétique ; enfin de Thétis, opéra renommé du célèbre M. de Fontenelle. […] M. le maréchal de Richelieu parut en 1745 avoir hérité du secret de ce magistrat célèbre.

120. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Là se présente l’ingénue Paquita dans l’espoir que, si elle devenait une danseuse célèbre, elle réussirait à se faire aimer de Cléofas.

121. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Un de ces fortunés mortels aurait été le comte de Lavalette, s’il fallait en croire cette mauvaise langue d’Horace de Viel-Castel qui dit de ce personnage : « C’est un homme adroit, rusé, un vrai Figaro diplomatique… Lavalette, pour arriver à un poste diplomatique important, a mené la vie de joueur, a vécu avec toutes les danseuses les plus célèbres, entre autres Fanny Elssler… Il est marquis comme mon portier et Lavalette du coin de la rue118. » Charles de Boigne parle en termes voilés d’un amant que Fanny aurait eu dans les ambassades119.

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