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171. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289

Un grand Violon d’Italie arrive-t-il à Paris, tout le monde le court & personne ne l’entend ; cependant on crie au miracle.

172. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287

On ne les voit plus, comme à l’époque d’Albéric Second et de M. de Boigne, arriver à la barre, un petit arrosoir à la main, et l’extrémité des jambes emmaillotée dans des guêtres en coutil, destinées à protéger contre toute souillure leurs bas couleur de chair et leurs chaussons de satin.

173. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Mademoiselle Taglioni arrivait d’Angleterre où elle allait fréquemment donner des représentations. […] La soirée mémorable arriva… La vaste nef était bondée jusqu’aux combles.

174. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166

Il peut arriver quelquefois que dans les sauts que la joie fait faire, il y ait quelque chose qui ne soit pas assez grave, relativement aux personnes et aux circonstances ; mais, dans les simples sauts, il n’y a rien de dangereux pour les mœurs ; et nous avons évidemment montré les dangers qui se trouvent dans les danses que nous condamnons, parce qu’elles se font avec des personnes de différent sexe, et avec des gestes et des attitudes peu modestes.

175. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVIII. » pp. 185-200

Un instant après il devient plus ivre ; il perd son chapeau, abandonne ses étriers, il galope, frappe son cheval, le pique de ses éperons, casse son fouet, perd ses gands, et arrive aux murs de son parc ; il n’en trouve plus la porte, il veut absolument que son coursier dont il déchire la bouche, entre par la muraille ; l’animal se débat, se cabre, et jette mon vilain à terre. » Après cet exposé, Garrick commença ; il mit successivement dans cette scène, toutes les gradations dont elle étoit susceptible ; il la rendit avec tant de vérité, que lorsqu’il tomba de cheval Prévillo poussa un cri d’effroi ; sa crainte augmenta encore lorsqu’il vit que son ami ne répondait à aucune de ses questions.

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