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163. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Un ami avait désapprouvé son choix, mais il consulta une des dames réputées pour avoir le meilleur goût de tout Vienne ; elle l’assura que le cadeau ne serait pas moins utile qu’agréable. […] Le prince de Metternich lui dit en le quittant : « Il faut qu’il vous soit arrivé aujourd’hui quelque chose de fort agréable, car il y a longtemps que je ne vous ai vu si gai. » C’est de cette joie que débordait encore son cœur le lendemain matin, au milieu de l’effarement causé par les dépêches venues de Vienne.

164. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

La danse, après tout, n’a d’autre but que de montrer de belles formes dans des poses gracieuses et de développer des lignes agréables à l’œil ; c’est un rythme muet, une musique que l’on regarde.

165. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Fanny habitait, comme à Hambourg, avec sa fille que Betty Paoli appelle une personne « intelligente, cultivée, agréable », et sa cousine Catherine.

166. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

Quoi qu’il en soit de ce blâme et de tous ceux qui l’ont imité ou suivi, en dépit de Beaumarchais, de Saint-Évremont et de leurs parodistes, depuis cent quatre-vingt-dix ans, tout près de deux siècles, que l’opéra a été naturalisé en France, il a toujours été regardé comme le plus brillant et souvent comme le plus agréable de nos spectacles.

167. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Quand cette épigramme est en anglais, lecteur, on dit qu’elle est fort agréable : mais je la donne comme je la sais.

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