Un ami avait désapprouvé son choix, mais il consulta une des dames réputées pour avoir le meilleur goût de tout Vienne ; elle l’assura que le cadeau ne serait pas moins utile qu’agréable. […] Le prince de Metternich lui dit en le quittant : « Il faut qu’il vous soit arrivé aujourd’hui quelque chose de fort agréable, car il y a longtemps que je ne vous ai vu si gai. » C’est de cette joie que débordait encore son cœur le lendemain matin, au milieu de l’effarement causé par les dépêches venues de Vienne.
La danse, après tout, n’a d’autre but que de montrer de belles formes dans des poses gracieuses et de développer des lignes agréables à l’œil ; c’est un rythme muet, une musique que l’on regarde.
Fanny habitait, comme à Hambourg, avec sa fille que Betty Paoli appelle une personne « intelligente, cultivée, agréable », et sa cousine Catherine.
Quoi qu’il en soit de ce blâme et de tous ceux qui l’ont imité ou suivi, en dépit de Beaumarchais, de Saint-Évremont et de leurs parodistes, depuis cent quatre-vingt-dix ans, tout près de deux siècles, que l’opéra a été naturalisé en France, il a toujours été regardé comme le plus brillant et souvent comme le plus agréable de nos spectacles.
Quand cette épigramme est en anglais, lecteur, on dit qu’elle est fort agréable : mais je la donne comme je la sais.