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113. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269

D’ailleurs la Peinture se dévelope, & nous éclaire en se faisant voir tout d’un coup ; la Poésie ne va à son but & ne produit son effet qu’en faisant succeder une chose à une autre : or ce qui est serré est bien plus agréable, dit Aristote, & touche bien plus vivement que tout ce qui est diffus.

114. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Un orchestre allemand s’était placé dans la rue avec des pupitres éclairés par des torches.

115. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Son attitude lui aliénait les sympathies éclairées qui avaient fait pour elle de Paris un séjour de délices.

116. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

D’abord — avantage immense — elle est beaucoup plus belle et plus jeune ; son profil pur et noble, la coupe élégante de sa tête, la manière délicate dont son col est attaché, lui donnent un air de camée antique, on ne saurait plus charmant ; deux yeux pleins de lumière, de malice et de volupté, un sourire naïf et moqueur à la fois, éclairent et vivifient cette heureuse physionomie.

117. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

O Lorettes, Charles Nodier vous adoptera au nombre de ses trilbis, il vous associera aux jeux de ses lutins, et le soir, il éclairera le forestier sous les noires voûtes des bois avec les flammes de vos yeux brillants comme la luciole.

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