C’est que le ballet de Petipa-Tchaïkovski n’avait à Saint-Pétersbourg et à Moscou jamais quitte le programme ; il y a huit mois ou bien neuf je l’ai vu de mes yeux au « Théâtre Marie », mêlé à un public de gardes rouges et de matelots « en corvée »… Le 3 janvier 1890, jour de la première de la Belle, fut une des plus grandes dates de la « période héroïque » du ballet russe s’affranchissant enfin de la tutelle des virtuoses italiens, renonçant à la musique étrangère fabriquée par des musiciens appointés.
Il quitte la scène comme un furieux, en provoquant son rival au combat.
Eumène court dans les bras de son père ; Oreste se jette dans ceux de son ami et ne les quitte que pour voler dans ceux de sa sœur. […] Isménie qui n’a pu se donner la mort, se consacre aux autels de Diane ; elle part avec les Grecs, qui emportent sa statue et qui vont lui élever un temple dans l’Attique ; cette Princesse quitte sa patrie pour se livrer aux fonctions sacrées de la Déesse, et être Grande Prêtresse de ses autels.
XIII Quittons Finette, si vous voulez bien : j’en ai déjà trop dit sur elle ; et parlons d’une autre camarade à moi plus digne de la publicité.
Pour la conserver, il faut la quitter.
Dès que j’eus quitté Budapest, la danseuse revint y tenir l’engagement que j’avais préparé pour elle.
La Danseuse Merci, après tout ce que vous venez de me dire, je vous tiens quitte de vos compliments.
Il est aisé de concevoir, d’après mes idées, que le ballet pantomime doit toujours être action, et que les figurans ne doivent prendre la place de l’acteur qui quitte la scène, que pour la remplir à leur tour, non pas simplement par des figures symétriques et des pas compassés, mais par une expression vive et animée, qui tienne le spectateur toujours attentif au sujet que les acteurs précédens ont exposé.
En voilà plus qu’il ne faut sur l’abus des mots, je quitte cette tour de Babel, pour vous entretenir un instant de la saltation, ou de l’art du geste.
Il est aisé de concevoir d’après mes idées, que le Ballet Pantomime doit toujours être en action, & que les Figurants ne doivent prendre la place de l’Acteur qui quitte la Scene, que pour la remplir à leur tour, non pas simplement par des figures symmétriques & des pas compassés, mais par une expression vive & animée, qui tienne le Spectateur toujours attentif au sujet que les Acteurs précédents lui ont exposé.
Elle y reçut un accueil très peu encourageant, si bien qu’elle ne tarda pas à quitter la France. […] Elle bondit, prompte comme l’éclair, et aussitôt le décor meurtrier s’abîmait avec fracas à la place qu’elle venait de quitter. […] Quand elle prend son vol, les regards soucieux Semblent la retenir au sol qu’elle abandonne, Comme si le lutin que l’Ecosse nous donne Quittait la terre pour les cieux82.
Un ouvrage didactique doit présenter toutes les faces de l’objet qu’il traite ; j’ajouterai encore que les licences sont permises dans le style épistolaire ; qu’on peut effleurer un sujet, le quitter, le reprendre, l’approfondir et le développer ensuite ; enfin j’observerai que quand on écrit sur un art en artiste, on ne peut se dispenser d’employer les mots thecniques qui lui sont propres ; car chaque art à son langage particulier ; si l’on changeoit les mots consacrés par l’habitude et adoptés par l’usage, on deviendroit inintelligible à ceux qui les cultivent et à ceux qui les chérissent. […] L’Amour, avant de quitter l’heureux séjour de l’Arcadie et le berceau des Graces, voulut couronner la constance de Daphnis, en disposant le coeur de Philis à la tendresse et en ouvrant son âme aux charmes du plaisir, toujours délicieux quand il est l’image du sentiment. […] Le Dieu s’approche de plus près, il agite ses ailes ; l’air frais et délicieux qu’elles répandent autour de la bergère semble lui donner un nouvel être.Elle se retourne en soupirant et elle apperçoit l’Amour ; dans sa surprise, elle hésite, et ne sait si elle doit rester ou fuir ; un charme enchanteur la retient ; elle considère avec l’admiration du plaisir l’enfant dangereux ; il est le plus beau et le plus touchant qu’elle ait vu de sa vie ; ses cheveux bouclés d’où l’ambroisie s’exhale, ses ailes dorées qui couvrent ses épaules d’albâtre, son petit arc, ses flèches, son carquois, tout attache ses regards, tout fixe son attention, et la sensibilité succède bientôt à l’admiration : elle serre tendrement dans ses bras l’aimable enfant, et elle se sent animée par un sentiment qui lui est inconnu ; elle ne vent plus enfin quitter l’Amour, et la crainte qu’elle a qu’il ne lui échappe, lui fait naître l’idée de lui couper les ailes.
Ainsi on ne doit pas croire que le refus que fit Platon de danser devant Denis, fut manque de sçavoir bien danser : l’on doit plutôt croire qu’il ne voulut pas donner cette satisfaction à ce Roi, qui passoit pour le Tiran de Siracuse ; au lieu qu’Aristipe qui étoit un des conviez, quitta son manteau de Philosophe pour mieux danser, & se fit une gloire de bien suivre la cadence des instrumens, & de danser devant ce Roi une danse convenable à son caractere ; ce qui lui attira l’applaudissement de l’assemblée. […] Ce sont deux amans heureux : J’interprete leur silence ; Et j’entens parler leurs feux : Ils se suivent, ils s’évitent, Ils se joignent, ils se quittent, Feinte pleine de douceur ; L’un devant, l’autre s’arrête, S’applaudit de sa conquête, Ou rend gloire à son vainqueur, * Chœurs des Danses.
Et cette charmante Beaugrand qui dut quitter l’Opéra, à trente-huit ans, à l’apogée de son talent, en 1880 ! […] Cette grâce particulière, qui fit dire à Roqueplan : « Elle danse en français : on ne se relève pas de cela », ne retarda point en effet son départ, mais son verbe vif et mordant ne la quitta point.
Exhortons néanmoins ledit curé de détourner, autant qu’il pourra, ses paroissiens d’un divertissement si périlleux et si peu convenable à des chrétiens, qui ne sont en ce monde que pour faire pénitence ; et se souvenir que ceux à qui la danse est en particulier une occasion d’offenser Dieu mortellement et de se damner, sont incapables d’absolution et de communion, s’ils ne promettent tout de bon de la quitter, et ne la quittent effectivement, après avoir manqué à leurs promesses. » Dans une lettre du 9 octobre 1645, adressée à tous les doyens, promoteurs, curés et vicaires de son diocèse, pour empêcher la profanation des jours de dimanches et de fêtes, M.
— Je ne ferai aucun bruit, dis-je, je ne remuerai pas ; mais je veux être là, je ne le quitterai pas tant qu’il sera en danger. […] Il n’écouta pas, et se tournant vers moi, il me demanda si j’allais encore le quitter. « Non, répondis-je, je resterai tant qu’il vous plaira.
Au bout de trois minutes, toutes les dames ont quitté la répétition pour aller chez le commissaire.
On quitta la table, pour se livrer entièrement à la Danse.
Pylade l’imita si parfaitement dans son geste, dans son maintien, dans sa marche, ses manières, son air important, et saisit si bien les traits de sa physionomie, que le public reconnut le grand personnage ; et sans égard pour les titres, les emplois, et la naissance il applaudit Pylade avec transport, et se retournant ensuite vers l’illustre personnage qu’on jouoit, il le contraignit par ses applaudissemens offensans, et ses risées indécentes a quitter le théatre, Ce sénateur irrité menaça de se venger en faisant mettre le feu au théatre, et en faisant assassiner l’acteur, qui l’ayant insulté publiquement, l’avoit couvert de ridicule.
Euthyme quitte sa proye pour un instant, sans pourtant la perdre de vue.
Hercule épris pour le moins autant qu’Hilias des charmes d’Jolé, la cherche avec empressement ; son épouse vole au devant de lui, mais Hercule s’appercevant que son fils et Jolé sont ensemble, conçoit les plus violens soupçons ; il quitte Déjanire et court vers la Princesse dont les dédains et les mépris mettent le comble à sa fureur ; il menace Hilias ; il se dérobe aux empressemens de son épouse ; il vole vers Jolé, qui, méprisant continuellement ses feux, cherche un asyle dans les bras de Déjanire.
Tous les critiques la vantèrent ; tous les poëtes la chantèrent ; Edmond Texier, entre autres, qui lui sonna le sonnet suivant : Lorsque Taglioni, la fée aux blanches ailes, Quittait la salle aimée où pleuvaient tant de fleurs, L’insouciant Paris aux amours infidèles Ne la vit pas partir sans répandre des pleurs.
Et tout homme, s’il en existe un qui ne puisse donner aucun caractère à son visage, doit quitter le théatre pour jamais. […] Je conçois qu’un tel arrangement ne peut avoir lieu si les compositeurs se renferment dans un seul genre, et si les danseurs ne quittent cette fureur de remuer machinalement les jambes et les bras. […] Mais si l’art se perfectionne, si les danseurs s’attachent à peindre et à imiter, il faut alors quitter la gêne, abandonner les masques et en briser les moules, la nature ne peut s’associer à l’art grossier ; ce qui l’éclipse et ce qui la dégrade doit être proscrit par l’artiste éclairé.
42Mais je serais injuste si je quittais la plume sans rendre à M.
De fait, le corps répond tellement à ces impressions que, parfois, quand le choc est violent, la vie se trouve suspendue et parfois même quitte complètement le corps.
Il seroit avantageux, Monsieur, aux Auteurs de secouer le joug & de quitter la gêne, si toutefois ils avoient la sagesse de ne pas abuser de la liberté, & d’éviter les pieges qu’elle tend à l’imagination ; pieges dangereux dont les Poëtes Anglois les plus célebres n’ont pas eu la force de se garantir.
Il est encore des personnes qui commencent trop tard, et qui prennent la danse dans l’âge où l’on doit songer à la quitter. […] Que l’on fasse ces divers mouvemens soit avec célérité, soit avec lenteur, soit avec douceur, soit avec force ; les pieds ne quitteront point terre : cette fléxion et cette extension ne peuvent élever le corps, si les parties essentielles à la réaction ne jouent pas de concert.
Il est encore des personnes qui commencent trop tard, & qui prennent la Danse dans l’âge où l’on doit songer à la quitter. […] Que l’on fasse ces divers mouvements soit avec célérité, soit avec lenteur, soit avec douceur, soit avec force ; les pieds ne quitteront point terre, cette flexion & cette extension ne peuvent élever le corps, si les parties essentielles à la réaction ne jouent pas de concert.
On me versa, contre un chèque, l’argent dont j’avais besoin et je quittai Bucarest.
Il n’y a pas d’état plus fatiguant au moral et au physique que celui de maître de ballets ; ils doit régler et donner les pas ; il doit les faire, et si on ne les prend point au premier coup-d’oeil, il est obligé de les recommencer plusieurs fois ; lorsque le pas est saisi, il doit s’occuper d’un autre enchainement pour arriver au dessin ou à la figure qu’il imagine ; mais lorsqu’il quitte les formes symétriques, pour peindre celles que l’on nomme irrégulières, les combinaisons deviennent plus difficiles.
Elle habite au troisième au fond d’une cour dans une maison derrière les Folies-Bergère et n’en sort jamais, si ce n’est avec le directeur du théâtre ou sa femme, et avec sa mère qui ne la quitte pas.
Ce n’est qu’aux gens du commun que j’offre mon projet, non que je m’imagine que les gens de condition soient plus heureux lorsqu’ils sont mariés ; mais parce qu’on m’a dit qu’il était d’usage parmi eux de ne point contredire leur épouse, qui, de son côté, s’inquiète peu des actions de Monsieur ; on se quitte lorsqu’on s’ennuie, chacun prend un hôtel séparé, & vit au gré de ses caprices : on appelle cela, je crois, le bon ton.
Tantôt elles sont Circassiennes, et tantôt Egyptiennes : quelques semaines après elles adoptent le costume des femmes du sérail et l’abandonnent ensuite pour prendre celui des Lacédémoniennes ; par un caprice qui est sans exemple, elles ont quitté leurs cheveux, ce magnifique ornement que la nature a placé sur leur tête pour couronner leur front et servir de diadème à la beauté.
Et je dus quitter la maison vide.
Les Albains quittent leur camp, enlèvent leurs morts, et expriment leur désespoir.
Avant de quitter l’oasis de la rue Laffitte, constatons un fait peu connu et démentons une calomnie. […] Un troisième : Madame, votre jupon mazagran vous quitte. […] Au moment de quitter Paris pour une excursion, elle anticipe sur les pensées de la nuit qu’elle va passer à la campagne ; et elle écrit par avance à son Arthur quelques phrases qui reflètent les tristes impressions d’une âme veuve. […] Son Arthur fait des feuilletons, et la Lorette se livre à la botanique et à la chimie appliquées aux besoins usuels, en d’autres termes elle épluche les légumes du ménage et a la gérance du pot-au-feu ; soudain elle se rappelle avoir vu dans les contes pas mal de rois épouser des bergères, elle sait que l’antique usage était d’envoyer le portrait d’une jeune fille à un front couronné et que ce front perdait immédiatement la tête ; la Lorette dont s’agit jeta les yeux sur sa majesté le roi d’Angleterre, c’est-à-dire sur monsieur le mari de sa majesté la reine d’Angleterre (nous tenons même en matière de contes, à rester dans la vérité du langage constitutionnel) ; une nécromancienne lui a prédit qu’elle aurait les plus hautes destinées ; la Lorette traduit cet arrêt de la sibylle par ces phrases : Je dois convertir mon argenterie et mes meubles en délicieux chapeaux et en robes exquises, quitter les fiacres parisiens pour le paquebot anglais, prendre place dans une loge au théâtre le plus près possible du mari de la reine, et là, attendre qu’il tombe à la renverse frappé par l’éclat de mes yeux.
Alphonse Royer dit qu’il voyait les deux sœurs « quitter le soir le théâtre de la Porte de Carinthie après le spectacle et retourner à leur modeste domicile les pieds dans la neige, et portant un cabas à leur bras11 ». […] Lasse de rester dans le rang, elle songeait de plus en plus à quitter Vienne.
Avant, de quitter la partie du théâtre, je dois observer que les réservoirs pratiqués dans les ceintres me paroissent absolument inutiles, parce que l’expérience m’a démontré qu’ils ne pouvoient être d’aucuns secours ; celui que je place entre les deux corps de batimens, et ceux que j’établis sur les côtés du théâtre en offrent d’aussi prompts que de multipliés, celui qui seroit dans la cour préserveroit toute la charpente, la manœuvre des dessus et des dessous et fourniroit encore abondamment, au moyen des pompes foulantes, l’eau nécessaire aux deux réservoirs placés dans les enfoncemens du théâtre ; dèslors plus d’obstacles, plus de dégrès incommodes à monter ; en multipliant les secours, j’opposerois aux causes qui détruisent communément tous les théâtres, une grande quantité d’eau ; je la conduirois aisément partout où il en faudroit il seroit même inutile de multiplier les réservoirs ; s’il étoit difficile d’y parvenir ; les chemins qui conduisent aux secours de ce genre, doivent être libres et d’un accès facile ; il faut beaucoup d’espace pour qu’un service accéléré puisse se faire sans augmenter le désordre et le découragement qu’occasionnent les désastres, et que la crainte du danger accroît en raison des obstacles qui éloignent la promptitude des secours. […] Dans un incendie égal à celui de l’opéra une foule de spectateurs prit la fuite avec précipitation ; plusieurs d’entre eux se cramponnèrent aux portes soit pour assurer leur sortie, soit pour éviter les risques d’être renversés ou écrasés ; cette colonne grossit à un tel point, et les efforts réunis pour pousser en-avant furent tels que ceux qui tenoient les portes furent déplacés, ils ne les quittèrent point mais ne pouvant résister au choc, elles se fermèrent, il ne fut plus possible alors de faire reculer des gens qui n’entendoient rien et qui étoient saisis de frayeur ; les cris de la mort et du désespoir, des enfans et des femmes écrasés, d’autres dévorés par le feu, étouffés par la fumée, telle est l’esquisse de cet effrayant tableau ; l’instant d’après fut le signal de la mort ; les flammes gagnèrent, elles dévorèrent tout.
Maintenant le public sortait lentement, comme au regret de quitter l’atmosphère de la scène.
Remarquez qu’il en était cinq — le plus souvent — alors qu’elle a quitté le théâtre.
Monnet ; mais, soit que les habits et la décoration n’aient pas été d’accord, soit enfin que le genre que j’ai adopté l’emporte sur celui que j’ai quitté, je suis obligé de convenir que de tous mes ballets, c’est celui qui a fait ici le moins de sensation.
Lorsque je quitte mon jardin, c’est pour monter à mon grenier que j’appelle mon cabinet.
Monnet ; mais, soit que les habits & la décoration n’aient pas été d’accord, soit enfin que le genre que j’ai adopté l’emporte sur celui que j’ai quitté, je suis obligé de convenir que de tous mes Ballets, c’est celui qui a fait ici le moins de sensation.
Vous n’avez pas connu Mme d’Autremont, vous m’aviez quitté presque à la veille de mon mariage.
Aristée ami tendre, mais amant fidelle, exprime son trouble & sa situation de cent manieres différentes ; il éprouve mille combats ; il veut suivre Thémire mais il ne veut pas quitter Tircis ; il veut consoler l’amante, mais il veut secourir l’ami. […] C’est moins pour se donner le ton de réformatrice des modes, que parce qu’elle mérite le titre de grande Actrice, qu’elle a quitté les paniers.
Je conçois qu’un tel arrangement ne peut avoir lieu, si les Compositeurs ne renoncent à la Paysannade pour prendre un genre plus élevé, & si les Danseurs ne quittent cette fureur de remuer les jambes & les bras machinalement. […] Mais si l’Art se perfectionne, si les Danseurs s’attachent à peindre & à imiter, il faut alors quitter la gêne, abandonner les masques, & en briser les moules.
Ce prince religieux, emporté par les saillies de son amour pour Dieu, et devenu distrait pour tout ce qui l’environne, par une sainte ivresse, ne voit plus que son bienfaiteur qui le met en ce moment au comble de ses vœux ; et afin de donner à sa reconnoissance et à sa joie tout l’essor, et d’en suivre les transports, il prend une tunique, comme le vêtement le plus propre à en seconder l’activité ; et il quitte les marques de la majesté royale en la présence de Dieu, devant qui tout doit s’anéantir et disparoître. » Peut-on raisonnablement douter que ces grands sentimens de religion n’aient été le principe de la danse de David devant l’arche, lorsqu’on fait quelque attention à la réponse qu’il fit à Michol qui, le voyant danser et sauter devant le Seigneur, s’en étoit moquée en elle-même, et qui ensuite lui dit en raillant : Que le Roi d’Israël a eu de gloire aujourd’hui en paroissant devant les servantes de ses sujets comme un bouffon !