Le morceau le plus éloigné & qui termine la décoration, présente une cascade de plusieurs nappes qui se perd dans un bassin, & qui laisse découvrir derriere elle un paysage & un lointain. […] Cette Fête est terminée par une Contre-danse noble. […] C’est à l’ame à peindre, c’est à la Physionomie à colorier, ce sont les yeux enfin qui doivent donner les grands coups & terminer tous les Tableaux.
Supposons la jambe gauche à terre et la droite à la seconde ; faites décrire à celle-ci un demi-cercle en arrière, qui se termine à la première position ; il faut que de là il continue et achève le rond, en finissant à l’endroit d’où il est parti ; c’est ce que nous appelions rond de jambes.
Lorsque la visite des trois ateliers fut terminée, un monsieur et une dame ; traversant le jardin ; vinrent à nous, et Rodin nous nomma très simplement M. et Mme Carrière ; le grand peintre et sa femme.
je ne puis le comparer qu’à ces balons perdus, qui, après s’être élevés lentement et avec majesté, déscendent rapidement et terminent leur chûte, tantôt dans une prairie, tantôt dans une mare fangeuse.
On peut aussi terminer des pas et des enchaînements en attitudes et en arabesques.
Le maître doit terminer ses instructions et ses leçons, en donnant à l’élève l’esprit, le sentiment, le charme de son art, pour en faire un artiste accompli76.
[7] Ne’ giri poi questa opposizione non sempre si eseguisce, ma va spesso il giuoco del braccio da quell’istesso lato del piede che primo si porta, ed in vero a ciò non v’è un’esatta regola, che spesse volte si comincia col braccio e piede corrispondenti, e si termina con opposizione.
Leur danse noble et modeste fut adroitement coupée par Bacchus, Silène et les Egipans, qui venaient célébrer une noce si illustre ; et la fête fut ainsi terminée d’une manière aussi gaie qu’ingénieuse. […] Un bal éclairé avec beaucoup de goût, dans des salles préparées avec grande magnificence, termina cette première nuit. […] Le compliment fut terminé par mille et mille cris de vive le Roi, vive la Reine, vive Monseigneur le Dauphin, vive Madame la Dauphine. […] Des lumières arrangées ingénieusement sous différentes formes, terminaient ces amphithéâtres. […] Deux terrasses de charpente, à doubles rampes de 20 pieds de haut, étaient adossées aux quais des deux côtés, et se terminaient en gradins jusque sur le rivage.
Ici, Monsieur, le chant finit par ce qu’il devoit finir ; mais un ballet aussi varié que celui-ci, ne peut se terminer par le désespoir de la belle Gabrielle et les larmes de l’Amour : Un coup de poignard produiroit sans doute le plus grand effet ; mais ce moyen blesseroit tous ceux qui connoissent l’histoire, et qui préfèrent la vérité au vraisemblable.
La danse avertit en quelque façon le machiniste de se tenir prêt au changement des décorations ; vous savez en effet que le divertissement terminé, les lieux changent. […] il détruit les idées que la scène vient d’imprimer dans mon âme ; il joue un passe-pied ; il reprend un rigaudon, ou un tambourin fort gai, lorsque je suis vivement emu et fortement attendri, par l’action sérieuse qui vient de se passer ; il suspend le charme d’un moment délicieux ; il efface de mon cœur les images qui l’intéressoient ; il étouffe et amortit le sentiment dans le quel il se plaisoit ; ce n’est pas tout encore, et vous allez voir le comble de l’inintelligence : cette action touchante n’a été qu’ebauchée ; l’acte suivant doit la terminer et me porter les derniers coups ; or, de cette musique gaie et triviale, on passe subitement à une ritournelle triste et lugubre : quel contraste choquant ! […] J’ai toujours regardé un opéra comme un grand tableau qui doit offrir le merveilleux et le sublime de la peinture dans tous les genres, dont le sujet doit être dessiné par le poète, et peint ensuite par des peintres habiles dans des genres opposés, qui tous animés par l’honneur et la noble ambition de plaire, doivent terminer le chef-d’œuvre avec cet accord, cette intelligence qui annoncent et qui caractérisent les vrais talens. […] Les deux pas de trois, sont l’image de la scène dialoguée dans deux genres différens ; et le ballet en action qui termine ce petit Roman, intéressera toujours très-vivement tous ceux qui auront un cœur et des yeux ; si toutefois ceux qui l’exécutent ont une ame et une expression de sentiment aussi vive qu’animée.
(a) On peut terminer tous les entrechats que l’on finit sur une jambe ; ainsi que les ronds de jambe en l’air, dans les attitudes et les arabesques qu’offrent les planches indiquées dans le chapitre précédent.
Et je termine mon Traité par la Danse naturelle de quelques Elémens & de quelques animaux qui trépignent au son des instrumens, indépendament de ce qu’on en a dit d’Orphée & d’Amphion.
Elles peuvent avoir lieu dans un Ballet général qui termine une Fête ; elles peuvent encore passer dans des pas d’exécution, de quatre, de six, &c.
Quelques personnes seront sans doute étonnées, qu’ayant pris la mort d’Agamemnon pour le sujet d’un ballet, je ne me sois pas renfermé dans cette catastrophe ; elles blameront la hardiesse que j’ai eu d’y joindre la vengeance d’Oreste et de terminer ce spectacle par la mort de Clytemnestre et d’Egisthe, par le desespoir et le fureurs d’Oreste. […] La fête recommence, et après plusieurs pas adaptés au sujet et au caractère mâle et héroïque de ce genre, elle se termine par un pas de progression dont la dernière figure offre un grouppe pyramidal orné de tous les trophées de la victoire, propres à caractériser la pompe et la majesté qui règnoient dans les entrées et les fêtes triomphales des anciens. […] Cette cérémonie terminée, tous tombent à genoux et demeurent dans le silence le plus respectueux.
&c. on ajoutera, & Faiseur de Pantomimes : ce sera terminer magnifiquement votre éloge. […] Encore quelques réflexions avant que je termine ma Lettre.
La Reine et les Princesses qui représentaient dans le Ballet les Naïades et les Néréides, terminèrent ce spectacle par des présents ingénieux qu’elles offrirent aux Princes et Seigneurs, qui sous la figure de Tritons avaient dansé avec elles.
Je devais débuter dès que l’autre danseuse aurait terminé son engagement.
Les figures symétriques de la droite à la gauche ne sont supportables, selon moi, que dans les corps d’entrée, qui n’ont aucun caractère d’expression, et qui, ne disant rien, sont faits uniquement pour donner le temps aux premiers danseurs de reprendre leur respiration, elles peuvent avoir lieu dans un ballet général, qui termine une fête ; elles peuvent encore passer dans des pas d’exécution, de quatre, de six, etc. quoique, à mon sens, il soit ridicule de sacrifier dans ces sortes de morceaux l’expression et le sentiment à l’adresse du corps, et à l’agilité des jambes ; mais la symétrie doit faire place à la nature dans les scènes d’action.
On se livre à des danses ; et cette fête qui est le triomphe de la beauté, de l’amour et de la valeur, se termine par un pas général, qui peint la félicité des deux époux, la joie pure de Renaud, et l’intérêt tendre que les chevaliers et les dames prennent à cette union.
Ici se termine ce spectacle par deux tableaux intéressans ; l’un représente Polixène égorgée au pied du tombeau d’Achille et entourée des dames Troyennes qui expriment ce que les regrets et la douleur ont de plus amer ; l’autre offre Pyrrhus accablé de désespoir et évanoui dans les bras des guerriers empressés à le secourir, et à l’arracher d’un séjour qui lui retraceroit son infortune et ses malheurs.
Orphée et Euridice au comble du bonheur, expriment leur reconnaissance et leur félicité ; et ce ballet se termine par une bacchanale et un grouppe général qui peint tout à la fois les charmes de l’Amour et les plaisirs de Bacchus.
Je veux dire que, deux jours avant celui destiné à donner la fête, il n’y aura pas un clou à mettre, un coup de pinceau à donner, que tout sera parfaitement terminé, excepté l’illumination à placer.
Avant de terminer ma lettre je dois vous fixer l’époque où l’on vit pour la première fois des femmes danser sur le théâtre. […] Je termine ma lettre par une observation, et je dis qu’au milieu de tant de gout et de magnificence, à une époque où les sciences, les arts et les lettres avoient acquis tant de splendeur, dans un moment où les Le Brun, les Mignardet leurs successeurs acquirent par une foule de chefs-d’oeuvre des titres à la gloire, où cet art et celui de la sculpture rivalisoient. en talons et en génie avec ce que les artistes Grecs et Romains créèrent de plus parfait, dans un instant où les Corneille, les Racine et les Molière avoient surpassé les poëtes de l’antiquité ; ne sera-t-on pas étonné de voir dans les fêtes, et les spectacles pompeux de la cour, le costume le plus ridicule et le plus barbare, les allégories les plus triviales ?
La décoration représente un paysage agréable terminé par des coteaux rians et des arbustes fleuris. […] Cette fête Anacréontique est terminée par un grouppe général enrichi de tous les accessoires que la puissance de l’Amour leur a prodigués pour orner leurs Bergères et pour embellir leurs jeux.
Mais, dans ce monde-là, il n’y a point de but extérieur aux actes ; il n’y a pas d’objet à saisir, à rejoindre ou à repousser ou à fuir, un objet qui termine exactement une action et donne aux mouvements, d’abord, une direction et une coordination extérieures, et ensuite une conclusion nette et certaine. […] Ce sont des événements étrangers qui la terminent ; ses limites de durée ne lui sont pas intrinsèques ; ce sont celles des convenances d’un spectacle ; c’est la fatigue, c’est le désintéressement qui interviennent.
Je terminais en demandant un présent pour ma fête.
On me fit en Russie un long procès pour n’avoir pas tenu mon engagement et avant qu’il fût terminé je perdis, en manquant d’autres offres que je ne pouvais pas accepter sans mes lampes et mes costumes retenus en gage, tout près de deux cent cinquante mille francs.
Si la place ne lui eût manqué, elle en eût porté bien d’autres. » *** Ces exercices obligatoires terminés, les danseuses commencent à travailler leurs pas : les jetés, les balancés, les pirouettes, les gargouillades, les entrechats, les fouettés, les ronds de jambes, les assemblées, les pointes, les parcours, les petits temps, etc., etc., etc.
Mais poursuivons ; dans l’instant où tout le inonde se livre à l’expression d’une joye vive et pure, que les tables sont servies, que l’on boit, mange, que l’on chante, il paroit sur une colline qui termine le fond de la décoration une troupe de bandits ou de miquelets, qui, suivant leur coutume, se eouvroient le visage d’un masque de velours noir, non pas pour danser comme jadis à l’opéra, mais pour commettre leurs vols sans courrir les risques d’être reconnus. […] Afin de donner un corps à mes idées, je vais présenter quelques esquisses de ce genre difficile, laissant aux maîtres de ballets qui ont ou qui auront du génie, le soin de terminer l’ébauche que je leur offre. […] Ce tableau allégorique étoit terminé par un ballet très-court dont la fin offroit un groupe général.
Le tirage était terminé presque en même temps que le débarquement. […] Fanny vient de terminer un de ses pas de la Tarentule ou de la Sylphide. […] Un bal improvisé termina la journée138. » Les marins du Chistophe Colomb, en rade de Boston, ayant organisé une fête en l’honneur de Fanny, elle leur rendit la politesse en invitant deux cent cinquante hommes de l’équipage à une représentation dont elle composa le programme à leur intention. […] L’office terminé, elle fut reconduite en voiture à son hôtel.
Ainsi se termine le premier acte. […] La cérémonie terminée, on veut apprendre la valse fantastique à la jeune récipiendaire.
Le morceau le plus éloigné qui termine la décoration, présente une cascade de plusieurs nappes, qui se perd dans un bassin, et qui laisse découvrir derrière elle un paysage et un lointain. […] Cette fête est terminée par une contredanse noble.
Tout ce que la Magie a de redoutable ou de séduisant : les tableaux de Danse de la plus grande force, ou de la plus aimable volupté : des embrasements, des orages, des tremblements de terre : des Ballets légers, des Fêtes brillantes, des enchantements délicieux ; voilà ce que Quinault demandait dans cet Acte : c’est le plan qu’il avait tracé, que Lully aurait dû remplir et terminer en homme de génie, par un entracte dans lequel la magie eut fait un dernier effort terrible.
Lettre IX [X] C’est dans cette lettre, Monsieur, que je dois terminer mes réflexions sur les spectacles des anciens ; spectacles gigantesques et disproportionnés ; spectacles incompréhensibles sous le rapport des costumes et de la déclamation.
Ce spectacle est terminé par des danses analogues à la circonstance, sur une passacaille et une chaconne d’un nouveau genre.
On décore la Rosière du ruban bleu ; on lui donne la bourse et la bague ; on l’unit à ce qu’elle aime ; et cette fête, champêtre est terminée par des danses analogues à la circonstance, que le Seigneur et son épouse se font un plaisir d’embellir.
» disait-on dans l’avant-scène des troisièmes, — côté cour ou côté de la Reine, — réservée à celles de ces demoiselles, qui, ayant terminé leur travail, voulaient assister à la fin de la représentation.
Je ne puis terminer un article sur le maintien sans recommander le menuet comme un seul moyen d’acquérir et de conserver le maintien le plus noble et le plus gracieux ; quoique rejeté par presque tous nos danseurs modernes, et même par un grand nombre de professeurs ; les premiers, parce que le menuet est le moins gai de tous les genres de danse ; les seconds, parce que le plus souvent ils en ignorent les élémens, le menuet n’en est pas moins une danse aimable, décente et polie, qui demande un talent particulier ; sa noble et élégante simplicité exige que le sujet qui l’exécute, connaisse à fond les principes de la danse et déploie toutes les grâces du maintien ; la lenteur de son mouvement donne le tems à l’attention d’approfondir les principes d’une manière sûre, et au corps celui de se développer et de se dessiner avec autant de méthode que de goût. […] Pour exécuter cet enchaînement, partant à droite, vous ferez une glissade dessous ; retombant, vous fondrez en pliant et développant la jambe qui est devant ; vous vous enleverez pour faire une seconde glissade exécutée dessus ; retombant, vous fondrez plié, en développant alors la jambe qui est derrière, et vous vous enleverez pour exécuter la troisième glissade, et dessous ; et retombant, vous fondrez, encore plié, en développant en même tems la jambe qui est devant, et vous vous enleverez en la rentrant derrière, faisant le jeté à la troisième position : le pied gauche étant relevé, se trouve degagé pour répéter cet enchaînement à gauche ; et au lieu de faire le jeté à la fin, vous ferez l’assemblé pour terminer cet enchaînement que vous exécuterez de droite et de gauche continuement. […] Faites ensuite le jeté simple à la quatrième position devant, en passant également la jambe qui est dessous ou derrière ; continuez et terminez cet enchaînement de la même manière que pour le balonné simple, et durant quatre mesures, en observant toujours qu’il faut avoir le genou tourné à côté de soi, le pied également en dehors et renflé, comme il est démontré pour cette manière. […] Vous exécuterez ces trois chassés-liés par le tems levé, et terminés par le jeté et l’assemblé continuement, suivant le mouvement des quatre mesures de ce trait. […] Pour remplir ce trait, vous ferez une sissone du pied droit en le passant dessous, et vous le ramenerez devant, faisant l’assemblé à la troisième position, et consécutivement le changement de jambe ; continuez en répétant ce tems de la jambe gauche ; et revenant à la droite, vous terminerez par l’assemblé.
[34] Per prendersi questa Capriola ha di bisogno prevenirsi con un gran Brisé o con un gran Sissonne, li quali potran dare la veemenza al salto, e per ordinario le quinte con quali si prende e si termina sono forzate, che dove va di mestiere di maggior impeto per una levata non si ha da cercare un’esatta posizione, ma quella che darà più forza al salto. […] Per esser perfettamente fatta questa Capriola, il corpo stando in aria, deve tenersi in linea piana, parallelo alla terra, cadendo poi obbliquo; questa non fa altro che mezzo giro, e si termina l’intiero sul piede che sta a terra, nel tempo che si raddrizza il corpo; e così va fatta volendosi fare di sbalzo.
Cette fête se termine par des danses caractéristiques, analogues au sujet et au site de l’action, dans les quelles Danaüs soutient son caractère, en mêlant à l’expression d’une joie feinte, les transports d’une haine implacable.
Bref, j’avais dû danser au moins vingt fois et nous avions terminé par les danses lumineuses que le roi n’avait jamais vues.
Les ombres heureuses offrent tous les âges et toutes les conditions ; les héros, les héroïnes, les poètes, les philosophes et les orateurs agiront, l’adolescence et l’enfance danseront ; c’est à l’imagination du peintre à tracer un vaste tableau ; s’il se contente de faire une allée d’arbres, terminée comme il est d’usage par une petite montagne, le maître de ballets se trouvera dans l’impossibilité de distribuer tous ces personnages sur un fond aussi étroitement combiné ; car il lui faut des berceaux, des allées, de petites collines, des bancs placés par la nature, des eaux tombant de terreins inégaux.
Qu’il est plus aisé de terminer les diférens par la Religion que par les armes. […] Une troupe de petits Amours effrayez d’un accident si surprenant, sortent avec précipitation des ruines du Palais, & retiennent une partie des déguisemens qu’ils n’ont pas eu le tems de dépouiller tout-à-fait : les uns ont encore les plumages des oiseaux, d’autres une partie des habits des Nymphes & danseurs, qu’ils avoient pris pour servir la passion d’Armide ; ce qui termina le Balet.
Après plusieurs pas particuliers qui peignent l’enjouement & la volupté, le Ballet est terminé par une Contre-danse générale. […] Cette Scene en remontant à l’arrivée de Constance & de Clairville offre une reconnoissance touchante ; le coup de Théatre qui la suit est intéressant, & le combat qui termine cette action vive présente trois Tableaux à la fois ; c’est l’amitié, la tendresse & l’amour que l’on veut désunir, ce sont des liens tissus par le sentiment que la Barbarie cherche à rompre, mais que la nature & Constance s’efforcent de serrer davantage.
Deux poëtes Italiens, au service de deux souverains, vinrent me complimenter ; le coeur ému, et les yeux encore baignés de larmes ; ils me dirent : vous êtes aujourd’hui le Sehakespéar de votre art, vous êtes cruel, et pour sécher nos pleurs, vous auriez du terminer votre ballet par une jolie contredanse.
Avant de terminer cette Lettre, revenons un moment aux Danseurs jarretés & arqués, & souffrez que je vous mette sous les yeux deux exemples vivants : c’est Monsieur Lany & Monsieur Vestris ; tous deux célebres, tous deux inimitables, ils vous convaincront qu’il est un Art qui en corrigeant la nature, sait l’embellir.