En presentant les mains à la Demoiselle, dans le même goût que j’ai tâché d’exprimer dans ces deux Figures, & lorsque vous tenez les deux mains, vous faites un tour ou deux, mais l’homme fait un pas de Menuet en arriere, en amenant à lui la Demoiselle dont il quitte la main gauche seulement, pour en ôter du même tems son chapeau : enfin le pas du Menuet fini, l’homme porte le pied droit à côté de la deuxiéme position : & puis ils font ensemble les mêmes reverences qu’ils ont faites avant de danser.
Elles précédaient deux grands chariots éclairés par un nombre immense de lumières, cachées avec art aux yeux du Peuple, et qui portaient toutes sur plusieurs groupes de personnages, qui y étaient placés en différentes positions.
La fossette du cou doit perpendiculairement correspondre au pied ; si on place un bras en avant, elle sort de sa perpendiculaire sur les pieds ; si une jambe se porte en arrière, la fossette est placée en avant, et elle change ainsi selon les diverses positions.
Cela fait qu’une simple préparation de Mme Tréfilova, quelque cinquième position de départ, en son équilibre immobile, nous ravit par la composition parfaite et désinvolte, par l’harmonie simple et logique des courbes et des droites.
Cet art est d’ailleurs fort imparfait, il n’indique exactement que l’action des pieds, et s’il désigne les mouvements des bras, il n’exprime ni les positions, ni les contours qu’ils doivent avoir.
Les ployés dans toutes les positions, les grands et les petits battements, les ronds de jambe à terre et en l’air et les petits battements sur le cou-de-pied sont les exercices du danseur.
Chacun d’eux a des attitudes différentes, relativement aux positions & aux mouvements que leurs travaux exigent. […] La nature ne nous offre pas toujours des modeles parfaits ; il faut donc avoir l’art de les corriger, de les placer dans des positions agréables, dans des jours avantageux, dans des situations heureuses, qui dérobant aux yeux ce qu’ils ont de défectueux, leur prêtent encore les graces & les charmes, qu’ils devroient avoir pour être vraiment beaux.
S’il veut persuader, qu’il dessille les yeux trop fascinés des jeunes danseurs, et qu’il leur dise : « Enfans de Terpsichore, renoncez aux cabrioles aux entrechats, et aux pas trop compliqués ; abandonnez la minauderie pour vous livrer aux sentimens, aux graces naïves et à l’expression ; appliquez-vous à la pantomime noble ; n’oubliez jamais quelle est l’âme de votre art ; mettez de l’esprit et du raisonnement dans vos pas de deux ; que la volonté en caractèrise la marche, et que le goût en distribue toutes les situations ; quittez ces masques froids, copies imparfaites de la nature ; ils dérobent vos traits ; ils éclipsent, pour ainsi dire, votre âme, et vous privent de la partie la plus nécessaire à l’expression ; défaites-vous de ces perruques énormes, et de ces coeffures gigantesques, qui font perdre à la tête les justes proportions qu’elle doit avoir avec le corps ; secouez l’usage de ces paniers roides et guindés, qui privent l’exécution de ces charmes, qui défigurent l’élégance des attitudes, et qui effacent la beauté des contours que le buste doit avoir dans ses différentes positions.
Ces contrastes de positions et d’oppositions font le charme de la danse et mettent le sceau de la perfection à l’exécution méchanique.
Non ; pour les jeunes personnes qui aspirent à devenir les madones de l’art… chorégraphique, il s’agit simplement de parvenir à ce degré d’élasticité — de muscles, de mœurs et de langage — dont le docteur Véron nous fournit l’exemple suivant dans le troisième volume de ses Mémoires : « Je m’aperçus que l’une de mes ballerines, quoique dans une position intéressante, n’en continuait pas moins son service, fort pénible à cette époque.
Dire qu’il y a un siècle à peine Carlo Blasis — qui pendant cinquante ans devait dominer l’enseignement de la danse — considérait le changement de position en tournant comme une difficulté suprême !
S’il veut persuader, qu’il dessille les yeux trop fascinés des jeunes danseurs, & qu’il leur dise : « Enfants de Terpsichore, renoncez aux cabrioles, aux entrechats & aux pas trop compliqués ; abandonnez la minauderie pour vous livrer aux sentiments, aux graces naïves & à l’expression ; appliquez-vous à la Pantomime noble ; n’oubliez jamais quelle est l’ame de votre Art ; mettez de l’esprit & du raisonnement dans vos pas de deux ; que la volupté en caractérise la marche & que le génie en distribue toutes les situations ; quittez ces masques froids, copies imparfaites de la nature ; ils dérobent vos traits, ils éclipsent, pour ainsi dire, votre ame, & vous privent de la partie la plus nécessaire à l’expression ; défaites-vous de ces perruques énormes & de ces coëffures gigantesques, qui font perdre à la tête les justes proportions qu’elle doit avoir avec le corps ; secouez l’usage de ces paniers roides & guindés qui privent l’exécution de ses charmes, qui défigurent l’élégance des attitudes, & qui effacent la beauté des contours que le buste doit avoir dans ses différentes positions.
Arrêtez-les avec aplomb et assurance ; que le dessin de la position de votre corps, de vos bras, de vos jambes soit correct, et prononcé avec grâce. […] Gardel, ce grand artiste m’a dit que pour connaître un bon danseur il fallait l’arrêter au moment d’une position, d’une attitude quelconque, et l’examiner : que l’œil même devait l’arrêter, pour ainsi dire, dans l’instant où il s’est enlevé, pour battre quelque Temps ; si alors cet artiste se trouve placé dans les vrais principes, et que son corps, ses bras, ses jambes forment un ensemble harmonieux, agréable et digne d’être dessiné, le danseur a réussi et mérite la palme.
Des buissons de roses et des arbres fleuris s’entr’ouvrent ; les Nymphes s’en échappent, et toutes s’empressent à séduire le jeune héros ; les tableaux voluptueux que ces Nymphes lui peignent, les grouppes variés qu’elles forment au tour de lui, l’enchantent et le séduisent ; elles désarment Renaud et se servent de son épée de son casque et de son bouclier, pour embellir leurs jeux, leurs attitudes et leurs positions ; elles le couronnent de fleurs et elles l’enchaînent avec des guirlandes.
Ma « carrure » et ma position m’ont donc créé une foule d’antagonistes, parmi mes compagnes surtout.
Il contribuera à l’agrément des formes ; il répandra de la nouveauté et de l’élégance dans les figures, de la volupté dans les groupes, des graces dans les positions du corps, de la précision et de la justesse dans les attitudes.
Il contribuera à l’agrément des formes ; il répandra de la nouveauté & de l’élégance dans les Figures, de la volupté dans les grouppes, des graces dans les positions du corps, de la précision & de la justesse dans les attitudes, & la Danse semera en quelque façon des fleurs sur les chemins que le goût lui tracera.
Je crois fermement que danser en jouant à la paume n’est autre chose que de bien saisir la balle, de la renvoyer avec grace à son adversaire ; que toutes les positions du corps offrent dans ce jeu des contrastes d’attitudes, par conséquent des positions et des oppositions agréables et pittoresques. […] Il n’avoit pas plutôt jetté ses regards sur cette glace fidèle, qu’il étoit honteux de ses erreurs ; il n’hésitoit plus ; il jettoit loin de lui son turban, son armure, son bouclier et ses armes, et se précipitoit ensuite dans les bras de la vérité ; toutes les vertus qui font la gloire des Princes l’environnoient ; Bradamante an comble de la joye voloit vers lui ; les chevaliers et les dames se réunissoient à l’entour des deux époux et des vertus ; ceci lormoit progressivement un groupe général varié de positions ; il offroit le tableau intéressant du bonheur ; les deux amans ensuite étoient unis par les vertus ; les daines présentoient à Roger un casque riche ombragé d’un panache blanc ; les chevaliers lui attachoient une magnifique cuirasse.
vous écrivez des lettres anonymes pour me faire perdre ma position, et vous croyez que cela se passera comme ça !
La danse est l’art des pas, des mouvemens gracieux et des belles positions.
Alexandre par des peintures vivantes, veut augmenter l’enthousiasme de l’Artiste, il ordonne à Campaspe de marcher et de déployer ses Graces, elle se pose dans les attitudes les plus variées et les plus pittoresques : chaque mouvement exprime un sentiment ; elle réunit les graces à la volupté ; les traits de sa figure et le feu de ses regards prêtent l’ame et la vie aux positions de son corps, toutes ces peintures délicieuses enchantent Apelles, et portent à son cœur le trouble et l’émotion.
Tout étoit donc à merveille ; la musique étoit faite pour la danse, et la danse pour la musique ; mais ce qui se marioit alors, ne peut plus s’allier aujourd’hui ; les pas sont multipliés ; les mouvemens sont rapides et se succédent avec promptitude ; les enchainements, et le mélange des tems sont sans nombre ; les difficultés, le brillant, la vitesse, les repos, les indécisions, les attitudes, les positions variées ; tout cela, dis-je, ne peut plus s’ajuster avec cette musique tranquille et ce chant uniforme qui règne dans la composition des anciens maîtres. […] Je ne voudrois plus de ces tonnelets roides, qui, dans certaines positions de la danse, placent pour ainsi dire, la hanche à l’épaule, et qui en éclipsent tous les contours. […] Un élan, un pas vif, une fuite, agiteroient la draperie dans des sens différens ; voilà ce qui nous rapprocheroit de la peinture, et par conséquent de la nature : voilà ce qui prêteroit de l’agrément aux attitudes et de l’élégance aux positions ; voilà enfin ce qui donneroit au danseur cet air leste qu’il ne peut avoir sous le harnois gothique de l’opéra.
Tout étoit donc à merveille ; la Musique étoit faite pour la Danse, & la Danse pour la Musique ; mais ce qui se marioit alors ne peut plus s’allier aujourd’hui : les pas sont multipliés ; les mouvements sont rapides & se succédent avec promptitude ; les enchaînements & le mêlange des temps sont sans nombre ; les difficultés, les cabrioles, le brillant, la vîtesse, les repos, les indécisions, les attitudes mâles, les positions variées, tout cela, dis-je, ne peut plus s’ajuster avec cette Musique tranquille & ce chant uniforme qui regne dans la composition des anciens Maîtres. […] Je ne voudrois plus de ces tonnelets roides qui dans certaines positions de la Danse placent, pour ainsi dire, la hanche à l’épaule, & qui en éclipsent tous les contours. […] Un élan, un pas vif, une fuité agiteroient la draperie dans des sens différents : voilà ce qui nous rapprocheroit de la Peinture, & par conséquent de la Nature ; voilà ce qui prêteroit de l’agrément aux attitudes & de l’élégance aux positions ; voilà enfin ce qui donneroit au Danseur cet air leste qu’il ne peut avoir sous le harnois gothique de l’Opéra.
Chaque cavalier dans cette position, et la dame, qui se trouve alors à sa droite, se donnent la main droite en main droite, et font un tour entier sur place en partant de droite à droite, selon le sens que présente la main, et se retrouvent alors comme quand ils se sont pris ou donné la main qu’ils ne se quittent point, et en quatre mesures.
Telle est la position des chœurs dans le quatrième Acte de Proserpine et dans le premier d’Armide, dans le troisième Acte d’Alceste.
La peinture a des règles de proportion, de contraste, de position, d’opposition, de distribution, d’harmonie ; la danse a les mêmes principes. Ce qui fait tableau en peinture, fait tableau en danse : l’effet de ces deux arts est égal, tous deux ont le même but à remplir, ils doivent parler au cœur par les yeux ; l’un et l’autre sont privés de la parole ; l’expression des têtes, l’action des bras, les positions mâles et hardies, voilà ce qui parle en danse comme en peinture ; tout ce qui est adopté par la danse peut former des tableaux, et tout ce qui fait tableau dans la peinture peut servir de modèle à la danse, de même que tout ce qui est rejetté par le peintre doit l’être par le maître de ballets.
Le second reméde à employer, est de conserver une flexion continuelle dans l’articulation des genoux, et de paroitre extrémement tendu sans l’être en effet : c’est là Monsieur, l’ouvrage du temps et de l’habitude : lorsqu’elle est fortement contractée, il est comme impossible de reprendre sa position naturelle et vicieuse, sans des efforts qui causent dans ces parties un engourdissement et une douleur insupportable.
L’Amour, caché derrière les Nymphes, jouit de la surprise, de la beauté et des graces de l’objet qui l’enchante ; mais quel est l’étonnement de Psyché, lorsqu’elle jette les yeux sur le miroir, le premier, sans doute, qu’elle ait vu ; elle se mire, elle se considère, elle recule, elle avance ; et sa physionomie, ses mouvemens et ses gestes étant répercutés par le miroir, elle ne peut concevoir qui peut produire cet enchantement ; elle réfléchit, et retourne au miroir ; elle y déployé ses graces ; elle prend des positions différentes : la glace les lui répète.
Le second remede à employer, est de conserver une fléxion continuelle dans l’articulation des genoux, & de paroître extrêmement tendu sans l’être en effet ; c’est là, Monsieur, l’ouvrage du temps & de l’habitude ; lorsqu’elle est fortement contractée, il est comme impossible de reprendre sa position naturelle & vicieuse sans des efforts qui causent dans ces parties un engourdissement & une douleur insupportable.
chacun d’eux a des attitudes différentes relativement aux positions, et aux mouvemens que leurs travaux exigent.
— Mon cher, c’est parce que je ne veux pas avoir l’air de m’élever au-dessus de ma position.
Ne pensez pas que ce grand acteur fut bas, trivial, et grimacier : fidèle imitateur de la nature, il en sût faire le plus beau choix ; il la montra toujours dans des positions heureuses et dans des jours avantageux ; il conserva la décence que le théatre exige dans les rôles même les moins susceptibles de graces et d’agrémens ; il ne fut jamais au dessous ni au dessus du personnage qu’il faisoit ; il saisissoit ce point juste d’imitation, que les comédiens manquent presque toujours : ce tact heureux qui caractérise le grand acteur et qui le conduit à la vérité, est un talent rare que M. […] Le maître de danse, ainsi que le peintre, après avoir enseigné à son éléve les pas, la manière de les enchainer les uns avec les autres, les oppositions des bras, les effacemens du corps, et les positions de la tête, devroit encore lui montrer à y donner de la valeur et de l’expression par le secours de la physionomie.
Ne pensez pas que ce grand Acteur soit bas, trivial & grimacier ; fidelle imitateur de la nature, il en sait faire le plus beau choix, il la montre toujours dans des positions heureuses & dans des jours avantageux ; il conserve la décence que le Théatre exige dans les Rôles même les moins susceptibles de graces & d’agréments ; il n’est jamais au-dessous ni au-dessus du Personnage qu’il fait ; il saisit ce point juste d’imitation que les Comédiens manquent presque toujours ; ce tact heureux qui caractérise le grand Acteur & qui le conduit à la vérité, est un talent rare que M. […] Le Maître de Danse ainsi que le Peintre, après avoir enseigné à son éleve les pas, la maniere de les enchaîner les uns avec les autres, les oppositions des bras, les effacements du corps & les positions de la tête, devroit encore lui montrer à leur donner de la valeur & de l’expression par le secours de la physionomie.
je te demande la permission de renoncer à l’instant même à ta formule pour entrer prosaïquement dans l’exposé des difficultés de ma position. […] En passant sous le balcon en question, le capitaine tourne la position, il se mouche. […] — La Lorette professe un enthousiasme fébrile pour le cabriolet à quatre roues dit cabriolet milord ; le fiacre est pour elle une Bastille ; si parfois elle fait quelques concessions au mystère et consent à s’abriter derrière les stores garance de la citadine, elle s’évade le plus tôt possible de cette prison non-modèle et reprend position dans le calechino : c’est le nom que les Arthurs donnent au cabriolet dont le cocher est isolé.
Ainsi le Traité de la Danse de Carlo Blasis, l’illustre maître milanais, mentionne dans le texte de la première version (1820) tels temps ou positions sur les pointes.
« Leurs premiers droits existent, indubitablement, vis-à-vis de la profession à laquelle ils appartiennent, et qui compte parmi ses membres des personnes aussi estimables que riches, dont je suis fière de connaître un grand nombre, et qui, par leurs remarquables talents, élèveraient toute position dans laquelle elles pourraient se trouver placées. […] « J’espère, Messieurs, que mes sentiments ne m’auront pas entraînée au delà de la position que je voudrais occuper clans cette bonne cause, celle d’un humble instrument.
Il faut se préparer dès l’âge de huit ans, parce qu’à cet âge seulement le corps se montre assez souple pour se prêter aux cinq premières positions.
Après cette observation, qu’on examine Armide ; qu’on réfléchisse sur la position du poète et du musicien, sur le dessein donné, et sur la manière dont il a été exécuté. […] Telle est la position du poète et du musicien au quatrième acte.
Un pas est composé d’un ou de plusieurs temps ; le temps est composé de plusieurs mouvemens, et le mouvement est l’action que font les membres ou le corps, pour aller d’une position ou d’une attitude, à une autre. […] Grace d’attitude ou de position. […] Il ne fut plus question que de pas de mouvemens, d’attitudes, de figures, de positions.
Le chant si naturel à l’homme, en se développant, a inspiré aux autres hommes qui en ont été frappés, des gestes relatifs aux différents sons dont ce chant était composé : le corps alors s’est agité, les bras se sont ouverts ou fermés, les pieds ont formé des pas lents ou rapides, les traits du visage ont participé à ces mouvements divers, tout le corps a répondu par des positions, des ébranlements, des attitudes aux sons dont l’oreille était affectée : ainsi le chant qui était l’expression d’un sentiment (Voyez Chant) a fait développer une seconde expression qui était dans l’homme qu’on a nommée danse.
La décence… ma position… le scandale… — Bon, nous sommes en janvier, la chose se passera de nuit, les fenêtres seront fermées, l’on renverra les domestiques… — Vous oubliez l’orchestre… — C’est juste.
Cette salle, à laquelle la décoration donnait la forme d’une galerie, était ornée et éclairée par quatorze beaux lustres qui pendaient du plafond, disposés à quatre rangs, d’une position variée, pour l’alignement et la hauteur. […] Elles précédaient deux grands chariots éclairés par un nombre immense de lumières, cachées avec art aux yeux du peuple, et qui portaient toutes sur plusieurs groupes de personnages qui y étaient placés en différentes positions. […] Les parties isolées de ces décorations étaient des percées immenses que la disposition des clairs, des obscurs, et des positions ingénieuses des lumières devaient faire paraître à perte de vue. […] Entre le temple et le Pont-Neuf étaient quatre grands bateaux en monstres marins ; il. y en avait quatre autres dans la même position entre le temple et le Pont-Royal, et tout-à-coup on jouit du spectacle de divers combats des uns contre les autres. […] Pour la rendre plus magnifique et plus brillante par la variété des couleurs, toute l’architecture fut peinte en marbre de différentes espèces ; on y préféra ceux dont les couleurs étaient les plus vives, les mieux assorties, et les plus convenables à la clarté des lumières et aux divers ornements de relief rehaussés d’or, qui représentaient les sujets les plus agréables de la fable, embellis encore par des positions et des attributs relatifs à l’objet de la fête.
Tous les chanteurs et chanteuses qui composent l’académie royale de Musique sont dans cette position.
Les instans du charme qui les rend immobiles, offrent une multitude de tableaux et de groupes qui différent tous par les positions, par la distribution, par la composition, mais qui expriment également ce que la fureur a de plus affreux.
Les instants du charme qui les rend immobiles, offrent une multitude de tableaux & de grouppes qui différent tous par les positions, par la distribution, par la composition, mais qui expriment également ce que la fureur a de plus affreux.
Il a le génie et l’audace de sa position ; beaucoup de nos tripotailleurs envient son influence, sa fortune ; beaucoup le blâment qui voudraient l’imiter ; mais ils demeurent impuissants.