Il voudra exiger les mêmes moyens dans son écolier que ceux dont la nature le fait jouir ; il rapportera tout à lui, sans s’appercevoir ni des différences, ni des difficultés que l’écolier ne peut vaincre, parce que la nature s’y oppose ; qu’elle se prête, mais qu’elle ne se change point, ou qu’elle ne peut changer que dans un âge tendre, où les os même n’ont pas encore acquis leur dernier dégré de solidité ; ils sont dans cette circonstance l’image du jeune arbrisseau qui, malgré son penchant, obéit et prend la direction que le jardinier lui impose : de même, le maître habile guétera la nature, l’assujétira à ses desseins, et d’une main industrieuse, il lui donnera des formes étrangères à son inclination et à ses penchants. […] Il y a donc des articulations de deux espèces, les unes avec mouvement, et les autres sans mouvement ; j’omettrai ces dernières comme absolument étrangères à mon sujet.
Les artistes du siècle passé sont inférieurs à ceux des dernières années de la même époque et à tous ceux du commencement de celui-ci.
Le bourdon de Notre-Dame, un tremblement de terre, le jugement dernier !
Je me sentis furieuse au dernier point.
Je ne voulais pas débuter sans ma dernière danse, mais, devant la menace de mon directeur de déchirer notre contrat si je persistais, je finis par céder.
L’une des serres était vitrée de blanc et un dernier géranium, enfin, poussait en plein air.
Une dernière étape des « Ballets russes » : La Belle au Bois Dormant, par André Levinson Spectacle émouvant entre tous que la première de La Belle au Bois dormant à Londres !
Mais au milieu de tant d’étres ineptes, on distingue, comme je vous l’ai dit, des hommes privilégiés, et particulièrement favorisés par la nature, pour les quels l’étude n’est qu’un jeu, et qui portent progressivement les sciences et les arls au dernier dégré de perfection.
Scène dernière.
Scène IV et dernière.
Troisièle et dernière partie.
Mais le Lecteur auroit lieu de se plaindre, si dans un tems où la Danse est parvenuë au plus haut degré de sa perfection, je ne parlois point des progrès qu’elle a fait sur la fin du dernier siécle, qu’elle fait encore tous les jours par l’émulation qu’excitent les spectacles de l’Academie Roïale de Musique.
La décoration représente la scène de l’Opéra, vue de ses derniers plans, à l’heure où le spectacle va commencer. […] Asmodée, pour tenter un dernier moyen, fait alors arriver Paquita. […] Tous les assistants l’applaudissent, et don Cléofas lui-même l’admirerait, s’il n’était encore follement assoté de la veuve, pour laquelle il dépense ses derniers douros en présents et en colifichets qu’elle empoche sans se faire prier.
À peine a-t-elle le temps de dire un dernier adieu, d’adresser un dernier sourire à l’homme qu’elle a tant aimé : — elle meurt pleurante et pleurée !
Les ballets, sous ce prince, reprirent tout leur éclat, avec la pompe que pouvait y ajouter un monarque magnifique, commandant à une nation opulente et avide de plaisirs ; et on créa des spectacles étonnants par leur magie et leur richesse, lesquels ont été depuis perfectionnés jusqu’au dernier degré, par les artistes qui honorent le siècle présent.
Lorsque je pris congé d’elle, ses derniers mots furent ceux-ci : — Je serai charmée d’aider votre amie, puisque je pourrai ainsi vous être agréable.
Vouloir aller précisément jusqu’à la dernière ligne, pour ainsi dire, et jusqu’au dernier point qui sépare le bien du mal, c’est risquer trop visiblement de tomber dans le mal qu’on semble vouloir éviter.
À la fin du siècle dernier, l’art chorégraphique était arrivé à un tel degré de dégénérescence que la jeunesse n’y comprenait plus rien, et que, d’une seule voix, elle demande autre chose… La Danseuse Et quoi ?
« Dans les dernières années de la vie du maître, écrit l’excellent biographe d’Haydn, C. […] Haydn fut le parrain des deux premiers ; au baptême du troisième il se fit représenter par sa gouvernante, Anna Kremnitzer, qui fut ensuite, pour son compte personnel, marraine des trois derniers. […] Haydn, mort le 31 mai 1809, ne put assister que du haut du ciel, sa dernière demeure, au baptême de Fanny, née le 23 juin 1810.
Il s’ensuit aussi que le Lecteur d’un Ouvrage, & que le Spectateur d’un Drame, se trompent en regardant leur jugement comme infaillible, & lorsqu’ils prononcent en dernier ressort à leur petit Tribunal.
Dans cet état de corruption la peinture, la sculpture, et l’architecture furent délaissées ; tout ce qui portoit le caractère du beau, du grand et de l’utile fut entièrement abandonné ; les vices, le libertinage et la dissolution furent portés au dernier période de l’infamie sous les régnes de Caligula, et de Néron, qui s’associa bassement aux débauches des pantomines.
Scène dernière.
Scène XII et dernière.
Scène XII et dernière.
Seconde et dernière partie.
il détruit les idées que la scène vient d’imprimer dans mon âme ; il joue un passe-pied ; il reprend un rigaudon, ou un tambourin fort gai, lorsque je suis vivement emu et fortement attendri, par l’action sérieuse qui vient de se passer ; il suspend le charme d’un moment délicieux ; il efface de mon cœur les images qui l’intéressoient ; il étouffe et amortit le sentiment dans le quel il se plaisoit ; ce n’est pas tout encore, et vous allez voir le comble de l’inintelligence : cette action touchante n’a été qu’ebauchée ; l’acte suivant doit la terminer et me porter les derniers coups ; or, de cette musique gaie et triviale, on passe subitement à une ritournelle triste et lugubre : quel contraste choquant ! […] Vestris est le premier danseur, il ne danse qu’au dernier acte ; c’est la règle : elle est au reste conforme au proverbe qui astreint à conserver les meilleures choses pour les dernières.
Ils trouvaient du dernier ridicule qu’on s’adressât à de plats montagnards, pour divertir une Cour aussi polie que l’était la Cour de France.
Ces hommes rares avoient porté leur art au dernier dégré de la perfection ; mais ces précieux modèles ont été oubliés ; moi-même, Monsieur, je ne suis plus aujourd’hui considéré que comme un vieux radoteur incommode ; cependant ou s’attache à m’imiter, mais hélas !
Car elle croit qu’il faut à la vieillesse Faire oublier l’heure de son trépas, Et qu’on doit voir la main de la jeunesse Toujours de fleurs semer ses derniers pas. […] Mademoiselle Rossi l’est déjà, ainsi que mademoiselle Régnier, depuis l’examen du mois dernier.
Oublions la chaleur avec laquelle les Italiens parlent de leur opéra, et le ton de dédain dont les critiques du dernier siècle ont écrit en France, des Ouvrages Lyriques de Quinault.
et dernière mesure.
Scène II et dernière.
Celui , dit-il, qui rejette et qui ne reçoit pas mes paroles, a pour juge la parole même que j’ai annoncée : c’est cette parole qui le jugera au dernier jour. […] David étant près de mourir, dit à Salomon son fils dans les derniers avis qu’il lui donna, que Dieu lui promettant de conserver le trône à ses descendans, n’avoit fait cette promesse que sous la condition qu’ils seroient fidèles à observer ses lois ; et pour marquer ce en quoi cette fidélité devoit consister, il dit : (3.
Lettre quinzième et dernière. […] « Miraculeux, repondront-ils, ils sont du dernier bien ; et les arts agréables sont étonnants. » Représentez leur qu’il y a des changemens à faire, que la danse est froide, que les ballets n’ont d’autre mérite que celui du dessein, que l’expression y est négligée, que la pantomime est inconnue, que les plans sont vides de sens, que l’on s’attache à peindre des sujets trop minces ou trop vastes, et qu’il y auroit une réforme considérable à faire au théatre ; ils vous traiteront de stupide et d’insensé ; ils ne pourront s’imaginer que la danse et les ballets puissent leur procurer des plaisirs plus vifs. » Que l’on continue, ajouteront-ils, à faire de belles pirouettes, de beaux entrechats ; que l’on se tienne long tems sur la pointe du pied pour nous avertir des difficultés de l’art ; qu’on remue toujours les jambes avec la même vitesse, et nous serons contens.
Si cet expédient n’avait aucun succès, recourez au dernier moyen ; portez votre main au front, en formant un angle aigu avec l’index & le doigt du milieu : soyez persuadées que ce signe énergique le rendra plus raisonnable.
Ou les vices naturels qu’on observe en soi sont tels que rien ne peut y remédier ; en ce cas, il faut perdre sur le champ et totalement de vüe l’idée que l’on s’étoit formée de l’avantage de concourir aux plaisirs des autres ; ou ces vices peuvent être réformés par une application, par une étude constante, et par les conseils et les avis d’un maître instruit et éclairé ; et dèslors il importe essentiellement de ne négliger aucuns des efforts, qui peuvent remédier à des imperfections dont on triomphera, si l’on prévient le tems où les parties ont acquis leur dernier dégré de force et de consistance, où la nature a pris son pli, et où le défaut à vaincre s’est fortifié par une habitude trop longue et trop invétérée, pour pouvoir être détruit.
Scène dernière.
Ou les vices naturels qu’on observe en soi sont tels que rien ne peut y remédier ; en ce cas, il faut perdre sur le champ & totalement de vue l’idée que l’on s’étoit formée de l’avantage de concourir aux plaisirs des autres ; ou ces vices peuvent être réformés par une application, par une étude constante & par les conseils & les avis d’un Maître savant & éclairé ; & dès-lors il importe essentiellement de ne négliger aucun des efforts qui peuvent remédier à des imperfections dont on triomphera, si l’on prévient le temps où les parties ont acquis leur dernier degré de force & de consistance, où la nature a pris son pli, & où le défaut à vaincre s’est fortifié par une habitude trop longue & trop invétérée pour pouvoir être détruit.
Thérèse, au contraire, redoutait pour elle des débuts à Paris, et jusqu’au dernier moment, elle résista à mes propositions d’engagement pour elle et pour sa sœur, qu’elle dominait. […] « A l’Opéra, dit Charles de Boigne, on ne rêvait que Tempête ; on ne jurait que par la Tempête, on n’adorait que la Tempête ; depuis le directeur jusqu’au dernier figurant ou machiniste, le théâtre avait la tête à l’envers et le cœur idem 95. » Véron prêchait d’exemple ; selon son habitude, il se montrait un merveilleux boute-en-train.
Je n’avais jamais ni gants, ni voilettes, ni mouchoirs, c’était toujours elle qui venait justement de prendre les derniers.
Mes amis furent étonnés de voir que ma dernière danse avait déplu à Sa Majesté.
Je ne me pardonnerais pas d’avoir assombri ses derniers jours par l’aveu de la vérité.
Je reprends mon récit des évènements de la nuit dernière.