J’aurais trop peur que ce que j’écris aujourd’hui manque d’actualité dans huit jours.
Il ne veut pas le joindre ; il appelle un esclave ; écrit un billet par le quel il instruit Eliza qu il n’ira pas chez lui cette nuit, et lui assigne à elle-même un rendez-vous sur le bord de la mer, avant la pointe du jour.
On m’écrit qu’il a débuté avec le plus brillant succès par le Ballet de la Mort d’Orphée.
Je ne dois pas être jugé par les mêmes loix qui condamneroient un auteur dramatique ; il n’est aucune règle écrite par un homme de l’art pour la poètique de la danse ; il n’en existe point. Je suis le premier, qui ait osé écrire et qui ait eu le courage de faire quitter les sabots, les guitarres, les Rateaux et les Viélles, pour faire chausser le cothurne à mes danseurs et leur faire représenter des actions nobles et héroïques. […] Clytemnestre et Egisthe se rapprochent : Clytemnestre lui montre en frémissant l’écrit fatal ; elle hésite, et l’ouvre avec un mouvement qui peint l’agi-tation de son ame.
Avant que de répondre aux passages dont on abusoit, cet ancien auteur fait cette observation, que nous avons la même raison de faire que lui : « Je dirai, qu’il vaudroit mieux ne rien savoir des saintes Ecritures, que de les lire pour en abuser ainsi. » Est-il en effet un abus plus criminel que de se servir pour autoriser les vices, des livres saints qui n’ont été écrits que pour nous enseigner et nous porter à la vertu et à la pratique de l’Evangile, selon cette parole de saint Paul : (Tim. c. 3, vv. 16 et 17.) […] Une danse où l’on est rempli de sentimens d’humilité si sincères et si profonds, peut-elle, sans un prodigieux aveuglement, être mise en parallèle avec les danses profanes contre lesquelles nous écrivons ?
J’ai cru nécessaire d’écrire cet avis, afin que le lecteur fût bien persuadé que je n’ai point eu la prétention de faire des vers comme Boileau (ce qui me serait impossible), et qu’il me pardonnât d’avoir osé me servir des parties de ce Poëme, pour en composer un que je ne crois pas tout-à-fait inutile. […] Chant I, vers Quoi que vous écriviez, évitez la bassesse : 80 Le style le moins noble a pourtant sa noblesse. […] 155 Sur-tout qu’en vos écrits la langue révérée Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée. […] Voilà ce qu’un philosophe anglais écrivait sur la Danse, il y a près d’un siècle, c’est-à-dire en 1711. […] Il y a quarante ans, que Dorat écrivit les vers suivans : « Des élémens de l’art connaissez l’importance : Formez vos premiers pas sous un maître qui pense ; Vous avancerez plus avec moins de travaux : Il saura profiter même de vos défauts.
Je ne fais au reste, que copier d’un Historien92 contemporain les détails que je vais écrire.
Elle aussi était en exil avec son père, qui avait osé écrire un livre libertaire intitulé : « Le Juif polonais. » C’est grâce à la comtesse Wolska, que je fis connaissance de M. et Mme Flammarion.
Je lui promis de faire mon possible pour obtenir une invitation, et j’écrivis à M.
Je lui écrivis plusieurs lettres : elles demeurèrent sans réponse.
Si je me suis attardé à ce bref aperçu de la première londonienne, c’est que j’ai cru, en toute humilité, écrire une page de l’histoire du théâtre national russe.
S’ils eussent tracé les règles d’un genre dont ils étoient créateurs, leurs noms et leurs écrits auroient traversé l’immensité des âges, et ils n’auroient pas consacré leurs peines, et leurs veilles pour la gloire d’un moment.
Elle profite de l’instant ou elle est seule, pour écrire à Raymond.
Ce compositeur ingénieux a enrichi ce spectacle de ses brillantes productions ; il a écrit savament sur son art ; et personne n’est plus en état que lui d’apprécier le mérite de ceux qui se sont empressés de contribuer aux succès de ses ouvrages, soit par leur action, soit par le brillant de leur voix, soit enfin par le goût et l’expression de leur chant.
Mais comme de tous ceux qui enseignent avec applaudissement l’Art de la Danse, il ne s’est trouvé personne qui en ait écrit les regles, j’ai osé l’entreprendre ; & quoique j’aie fait toute ma vie de serieuses reflexions sur les positions & sur l’équilibre du corps, pour être plus à portée de donner des leçons utiles à mes Ecoliers, je me suis moins fondé sur ma propre experience, que sur l’habileté des plus grands Maîtres, que j’ai eu l’avantage de frequenter.
La veille de la première, elles écrivaient à Charles Maurice ce billet suppliant : « Veuillez, nous vous prions, monsieur, nous protéger comme vous l’avez fait jusqu’à présent. […] Dès les premiers jours de janvier 1836, c’est-à-dire avant même le retour des sœurs Elssler, il faisait annoncer qu’il mettait en répétitions un ballet nouveau, le Diable boiteux, dont le livret était tiré du roman de Le Sage par Burat de Gurgy, les danses réglées par Coralli et la musique écrite par Gide. […] « C’est qu’en vérité, écrivait-il, on ne doit être acteur de pareilles scènes que lorsqu’on n’a ni os ni muscles, lorsqu’on peut se tordre comme un serpent ou se ployer comme une feuille de parchemin. […] « Il fallut au public, au vrai public, écrit Charles de Boigne, quelques représentations pour s’habituer à la cachucha.
« Tout le monde, écrit Ch. de Boigne, veut avoir sa loge à l’Opéra, les uns une fois, les autres deux fois, les autres trois fois par semaine. […] « Il égaye, écrivait Théophile Gautier, et rend vivantes les représentations, qui, sans lui, seraient mornes et froides ; il est la mèche du fouet qui fait bondir l’acteur et le précipite au succès ; il donne du cœur à la jeune première qui tremble, et desserre la gorge de la débutante qui ne pourrait, sans lui, laisser filtrer un son perceptible ; ses applaudissements sont un baume pour l’amour-propre blessé des auteurs, qui oublient aisément qu’ils ont été commandés le matin… « Le claqueur n’est, du reste, qu’une nature admirative un peu exagérée40. » A l’époque où Véron prit possession du fauteuil directorial, ces natures admiratives étaient commandées à l’Opéra par un chef habile et majestueux, Auguste, devenu tellement illustre sous ce prénom, qu’il eût été dérisoire d’y ajouter son nom de famille, Levasseur, de même qu’il eût été malséant de faire suivre le nom de Louis XIV de celui de Capet. […] La critique littéraire et dramatique était entre les mains d’hommes qui savaient juger et écrire.
Nous n’avons dans ce genre que le Carnaval et la Folie, ouvrage de La Motte, fort ingénieux et très bien écrit, donné en 1704, qui soit resté au théâtre. […] Boileau affectait de dédaigner cette espèce d’ouvrages ; la comparaison qu’il faisait à la lecture d’une pièce de Racine avec un opéra de Quinault, l’amitié qu’il avait pour le premier, son antipathie contre le second, une sorte de sévérité de mœurs dont il faisait profession, tout cela nourrissait dans son esprit des préventions qui sont passées dans ses écrits, et dont tous les jeunes gens héritent au sortir du collège.
« Ses pieds sont comme deux flèches d’acier rebondissant sur un pavé de marbre », écrit un jour Gautier en parlant de la Fuoco1. […] Du reste le très remarquable « portrait écrit » qu’il fait d’elle à ce propos dans Les beautés de l’Opéra, album où Jules Janin se charge du panégyrique de Taglioni, n’est qu’une réduction de l’article d’ensemble qu’il avait publié au Figaro en 1837.
II C’est dans la charitable intention de combler ce vide social que l’idée m’est venue d’écrire un Manuel des Amoureux à l’usage des inexpérimentés.
Le Roi-Soleil poussa, du reste, la sollicitude à ce point qu’il régla lui-même et qu’il écrivit de sa main le budget du corps de ballet de l’Opéra.
Les deux sur la face principale, représentaient la paix et la victoire ayant ces mots écrits au-dessous, aut hœc, aut illa. […] Je ne fais au reste que copier d’un historien contemporain les détails que je vais écrire. […] On se contente donc de présenter aux lecteurs une réflexion qu’ils ont peut-être déjà faite ; mais au moins n’est-elle, si l’on ne se trompe, écrite encore nulle part. […] Ils étaient commandés par un d’entre eux, qui eut l’honneur de présenter par écrit à Madame la Dauphine, leur compliment en vers dans leur langage. […] Artifice [Article non signé] ; dans les savants écrits de M.
vous écrivez des lettres anonymes pour me faire perdre ma position, et vous croyez que cela se passera comme ça !
La plupart des danseurs ou des compositeurs auroient besoin d’adopter l’usage que les peintres suivoient dans les siècles d’ignorance ; ils substituoient à la place du masque des rouleaux de papier qui sortoient de la bouche des personnages ; et sur ces rouleaux, l’action, l’expression et la situation que chacun d’eux devoit rendre étoit écrite.
Elle entre d’un pas précipité et reproche aux Immortels l’oubli qu’ils ont fait d’elle ; Pluton, d’un geste menaçant lui ordonne de fuir et d’éviter son courroux ; la Discorde obéit, dissimule sa rage ; mais en partant, elle laisse tomber une pomme d’or sur la quelle est écrit : à la plus belle.
Théophile Gautier et Ernest Reyer avaient écrit, pour Amalia Ferraris, l’un, le livret, et l’autre, la musique de Sacountala, et rien ne pouvait rendre la langueur d’amour, les ruissellements de perles, les bruits d’oiseaux, le lute délicat et barbare de ce poème en action, digne du roi Soudraka.
… C’étaient Schlosser, Poussin, Maupérin et Mercier, que l’on avait surnommées les Quatre filles Aymon, sans doute parce qu’il devait leur être beaucoup pardonné ; Zina Richard, qui allait s’appeler madame Mérante ; Lilia Monselet, qui avait signé une brochure « à sensation » intitulée : Bluettes anti-mondaines d’une danseuse ; Fanny Génat, qui méditait de quitter le ballet pour le drame, et cette aimable Francine Cellier. qui avait l’air si comme il faut, qui écrivait des lettres si spirituelles aux journaux pour s’excuser d’être expropriée si souvent, et qui se préparait à jouer la comédie au Gymnase, où, le soir de son début, le quatrain suivant courait la salle : Du premier rang au dernier De l’orchestre, on se démène Pour voir l’effet que Cellier De plus près fait de la scène.
Chaque ballet devroit, à mon sens, offrir une scène qui enchaînât, et qui liât intimement le premier acte avec le second, le second avec le troisième etc. ces scènes, absolument nécessaires à la marche du drame, seroient vives et animées ; les danseurs seroient forcés d’abandonner leur allure, et de prendre une ame pour les rendre avec vérité et avec précision ; ils seroient contraints d’oublier en quelque sorte leurs pieds et leurs jambes, pour penser à leur physionomie et à leurs gestes ; chaque ballet seroit le complément de l’acte, et le termineroit heureusement ; ces sujets puisés du fond même du drame, seroient écrits par le poète ; le musicien seroit chargé de les traduire avec fidélité, et les danseurs, de les réciter par le geste, et de les expliquer avec énergie. […] La musique est à la danse ce que les paroles sont à la musique : ce paralèlle ne signifie autre chose, si ce n’est que la musique dansante est ou devroit être le poème écrit, qui fixe et détermine les mouvemens et l’action du danseur ; celui-ci doit donc le réciter, et le rendre intelligible par l’énergie et la vivacité de ses gestes, par l’expression vive et animée de sa physionomie : conséquemment la danse en action est l’organe qui doit rendre et qui doit expliquer clairement les idées écrites de la musique.
Ces Scenes absolument nécessaires à la marche du Drame seroient vives & animées ; les Danseurs seroient forcés d’abandonner leur allure, & de prendre une ame pour les rendre avec vérité & avec précision ; ils seroient contraints d’oublier en quelque sorte leurs pieds & leurs jambes, pour penser à leur physionomie & à leurs gestes ; chaque Ballet seroit un Poëme qui termineroit l’Acte heureusement : ces Poëmes puisés du fonds même du Drame seroient écrits par le Poëte ; le Musicien seroit chargé de les traduire avec fidélité, & les Danseurs de les réciter par le geste, & de les expliquer avec énergie. […] La Musique est à la Danse ce que les paroles sont à la Musique ; ce parallele ne signifie autre chose, si ce n’est que la Musique dansante est ou devroit être le Poëme écrit qui fixe & détermine les mouvements & l’action du Danseur ; celui-ci doit donc le réciter & le rendre intelligible par l’énergie & la vérité de ses gestes, par l’expression vive & animée de sa Physionomie ; conséquemment la Danse en action est l’organe qui doit rendre, & qui doit expliquer clairement les idées écrites de la Musique.
Il fit aussi ce qu’il put pour m’attirer à sa Religion, me disant que j’avois un Saint de ma famille parmi eux ; c’est Théodore de Beze, mon grand oncle maternel : je lui dis que j’avois vu une Lettre de ce Saint écrite à ma grand’mere, où il lui mandoit de rester dans la Religion Romaine, & que pour lui, il avoit eu des raisons d’embrasser la Religion Protestante.
Ce que les auteurs anciens et modernes ont écrit sur ce sujet est enveloppé de Nuages ténébreux, et offre bien plus de contradictions que de vérités.
Le jeu mâle, précis et correct qui règne dans l’exécution de l’orchestre de l’opéra ; l’ensemble parfait qui résulte de la manière vigoureuse que cet orchestre emploie pour produire de grands effets, ne peut être assimilé au jeu brillant et souvent fantastique des violons qui ne jouent que des sonnates et des concertos : il leur est libre d’orner et d’embellir leur ouvrage, de démancher jusqu’au chevalet, de se perdre dans des variations, d’entreprendre toutes les difficultés possibles, et de les vaincre ; voilà le grand violon comparé au premier danseur ; mais l’orchestre a son thême écrit, comme le corps de ballet a le sien dicté.
Si des Fables nous voulons passer à l’Histoire, qui est une autre source où les Peintres & les Poëtes puisent également, nous trouverons qu’à la réserve des Ecrivains sacrez, la plûpart des Auteurs ont écrit selon leur passion, ou selon les mémoires qu’on leur a donnez ; qu’ainsi ils nous ont laissé des doutes sur beaucoup de faits qu’ils ont souvent rapportez diversement. […] En effet Bosius & Severan qui ont écrit de gros volumes de Rome souterraine, nous découvrent dans les peintures qui s’y sont conservées jusqu’aujourd’hui, l’antiquité de nos Sacremens, la maniere dont les Chrétiens faisoient leurs prieres, & dont ils enterroient les Martyrs, & plusieurs autres connoissances qui regardoient les misteres de notre Religion. […] Ceux qui ont écrit de la Religion des anciens Romains, de leur maniere de camper, des simboles allégoriques, de l’yconologie, & des images des Dieux, n’ont point eu de meilleures raisons, pour prouver ce qu’ils ont enseigné, que les monumens antiques des bas-reliefs & des médailles.
L’apôtre saint Jean, dans sa troisième épître qu’il adresse à Gaïus, voulant lui témoigner sa joie de ce que des gens venus de chez lui, lui avoient dit de sa piété et de la sainteté de sa vie, lui écrit : (v. 3 et 4.) […] J’ai eu soin de demander à Dieu qu’il voulût bien bénir mon travail ; et je conjure les personnes qui liront ce que j’ai écrit pour le bien de mes frères, de soutenir la foiblesse de mes prières par la ferveur des leurs.
de Cahusac sur la danse est aussi nécessaire aux danseurs, que l’etude de la Chronologie est indispensable à ceux qui veulent écrire l’histoire ; cependant il a été critiqué des personnes de l’art, il a même excité les fades plaisanteries de ceux qui, par de certaines raisons, ne pouvoient ni le lire, ni l’entendre. […] Ce n’est pas pour eux qu’il a prétendu écrire, il n’a traité que la poétique de l’art ; il en a saisi l’esprit et le caractère ; malheur à tous ceux qui ne peuvent ni le goûter ni l’entendre !
Le Traité de Mr. de Cahusac sur la Danse, est aussi nécessaire aux Danseurs que l’étude de la Chronologie est indispensable à ceux qui veulent écrire l’Histoire ; cependant il a été critiqué des Personnes de l’Art, il a même excité les fades plaisanteries de ceux qui par de certaines raisons ne pouvoient ni le lire, ni l’entendre. […] Ce n’est pas pour eux qu’il a prétendu écrire, il n’a traité que la Poétique de l’Art ; il en a saisi l’esprit & le caractere ; malheur à tous ceux qui ne peuvent ni le goûter ni l’entendre.
Mlle Fanny Elssler écrivit alors au directeur : « Je me mettrai à la disposition de « l’administration pour ma rentrée avant le « 15 août 1840, terme de rigueur. » Le congé fut prolongé une première fois de deux mois imputables sur celui de trois mois auquel elle avait droit, du 1er juin 1840 au 1er juin 1841 ; elle devait donc être à Paris le 15 octobre 1840. […] « Cependant, dès les mois de novembre et de décembre 1840, Mlle Fanny écrit de New-York à M. […] Il écrit par exemple : « Les lecteurs remarqueront que les tourbillons de la rotation dans laquelle tout tourne autour de l’étoile polaire de la danse ont entraîné, sans résistance possible, l’auteur de l’article, tant sa critique est biscornue et tourbillonnante. » Voilà les pauvres fleurs qui poussaient pour Fanny sur les bords de la Sprée !
Un ouvrage didactique doit présenter toutes les faces de l’objet qu’il traite ; j’ajouterai encore que les licences sont permises dans le style épistolaire ; qu’on peut effleurer un sujet, le quitter, le reprendre, l’approfondir et le développer ensuite ; enfin j’observerai que quand on écrit sur un art en artiste, on ne peut se dispenser d’employer les mots thecniques qui lui sont propres ; car chaque art à son langage particulier ; si l’on changeoit les mots consacrés par l’habitude et adoptés par l’usage, on deviendroit inintelligible à ceux qui les cultivent et à ceux qui les chérissent. […] Les auteurs dramatiques ont écrit des comédies épisodiques que l’on nomme pièces à tiroir.
Lorsque saint Paul écrit aux Romains : (c. 12, v. 2.)
En attendant, la vérité se trouvera écrite.
Une de leurs plus essentielles vertus, c’est le zèle pour la gloire de Dieu et pour le salut du prochain, en sorte qu’on puisse leur appliquer cette parole de l’Ecriture, que les apôtres reconnurent (Jean, 2, v. 17.) avoir été écrite de Jésus-Christ le souverain pasteur des ames, lorsqu’il chassa les vendeurs du temple : (Ps. 68, v. 10.)