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136. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »

Si vous voulez vivre heureux, si vous aspirez à l’estime publique, si l’honneur de votre nom vous intéresse, employez le présent à mériter les suffrages de l’avenir.

137. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 6 novembre. Classicisme et exotisme. Une étoile parnassienne : Mlle Schwarz. — Djemil. — Un maître français. — Reprise de « Roméo ». »

À son tour, Djemil Anik a dansé, nom suave et qu’on dirait parfumé au jasmin.

138. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvi » pp. 89-95

Leurs noms bientot célèbres se propagent dans l’Europe et le sceau de l’immortalité est imprimé sur leurs savantes productions.

139. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « II. Vocation. » pp. 14-23

Le domestique voulut faire des difficultés, vu l’heure par trop matinale de cette visite, mais le vieux militaire insista d’un ton si ferme que Jean alla réveiller son maître et lui dire le nom du visiteur.

140. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »

La danse des courbettes est composée de mouvements à demi élevés, mais doucement, en avant, en arrière, par voltes et demi-voltes sur les côtés, faisant son mouvement courbé, ce qui donne le nom à cette espèce de danse. […] On a donné le nom d’airs à ces différentes danses, ainsi on dit air de terre à terre, etc. […] (B) Boutade Boutade, s. f. on donnait ce nom autrefois à des petits ballets, qu’on exécutait, ou qu’on paraissait exécuter impromptu.

141. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Le vaisseau ayant été béni, Madame la Dauphine lui donna son nom, et sur le champ il fut lancé à l’eau. […] La troisième boutique était un café ; on lisait dans le cartouche le nom de Benachi. […] Dans le cartouche étaient les noms de Baptiste et de Dimanche, fameux alors par leurs tours d’adresse. […] C’est un fait certain qui, vérifié dans le temps, fit donner à tous ces amusements le nom d’impromptu du labyrinthe. […] Ce nom leur a été donné du lieu où elles furent inventées pendant le cours des fêtes que l’électeur de Bavière donna à Suresnes [1713].

142. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -

Et comme les Instituteurs des differentes danses, leur avoient donné ou leurs noms propres, ou ceux des choses qu’elles exprimoient ; ce sont des circonstances que je n’oublie point dans leur histoire, parce qu’elles en font le fondement.

143. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre IV. Fragment de Lucien »

Cette foule de noms illustres n’est rien encore, en comparaison du merveilleux que peuvent fournir les Histoires de Mégare, de Nysus, de Scylla, l’ingratitude de Minos pour sa malheureuse Amante, les calamités des Thébains et des Labdacides, les combats de Cadmus ; ce Dragon miraculeux, dont les dents semées dans le champ de Mars, produisirent une armée de combattants ; la métamorphose de ce héros, les murs de Thèbes qui s’élevèrent au son de la Lyre d’Amphion, les malheurs de ce Chantre célèbre, l’orgueil de sa femme, sa punition, son deuil, son silence.

144. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VIII. » pp. 81-87

on trouvoit encore dans ces magasins des masques de femmes tout, aussi volumineux, mais non pas si laids ; ils servoient à de jeunes acteurs, qui avoient une voix douce et agréable ; car il n’est fait aucune mention dans les écrits des anciens des noms des femmes dont les talens avoient embelli la scène ; ils ne parlent que d’Ampuse, de Tymèle, et de Dyonisia, célèbres pantomimes ; elles s’attachoient à peindre la volupté ; plusieurs auteurs assurent qu’excitées par les applaudissemens que leur prodiguoient les jeunes gens, elles avoient porté la pefection de leur jeu au dernier période d’indécence.

145. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE PREMIERE. » pp. 2-14

Que ne pouvons-nous joindre aux noms de ces grands Hommes ceux des Maîtres de Ballets, les plus célebres dans leurs temps !

146. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIV. » pp. 134-149

L’union et l’assemblage différens de toutes les pièces osseuses dont la machine humaine est composée, porte en général le nom d’articulation. […] Leur usage indique assez leur nom.

147. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59

Je suis parvenue à avoir un nom à dix-huit ans, je trouverai bien moyen d’être jeune à quarante.

148. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89

Oui, monsieur, Alida Gambilmuche, de mon nom de bal.

149. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105

Markouski la raconte lui-même partout, et dernièrement, devant moi, il est venu prier un journaliste d’en faire une nouvelle à la main, en prenant soin de mettre son nom en toutes lettres.

150. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre III. Des mouvemens de la Danse par rapport aux actions humaines, suivant les préceptes des Egyptiens & des Grecs. » pp. 59-69

Toutes ces danses diversifiées de gestes, d’actions & de mouvemens, avoient leur nom particulier, qu’il seroit difficile de rapporter du Grec en notre Langue, pour les faire bien entendre : on peut avoir recours à l’Auteur, si l’on est curieux de les avoir.

151. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-

X m. et mme camille flammarion Nous avons en Amérique une grande actrice du nom de Madjeska.

152. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVI, autres souverains » pp. 178-

J’allais oublier de dire que pendant la représentation, j’avais reçu de mes admirateurs, avec un album de croquis, signés de noms dont plusieurs, aujourd’hui, sont célèbres, une fine statuette me représentant.

153. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVIII, comment j’ai découvert hanako » pp. 204-

Et comme elle avait un nom intraduisible et long d’une aune, je la baptisai sur l’heure : Hanako.

154. (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231

Diaghilev en élagua quelques-unes en les remplaçant par des danses d’un caractère analogue tirées d’un autre ballet de Tchaïkovski ; l’une d’elles, ainsi que la variation exécutée au premier acte par la Fée des Lilas appartient en propre à feu Léon Ivanov, dont le nom n’est même pas mentionné sur le programme : homme d’un talent admirable qui végétait, modeste et obscur, à l’ombre des lauriers de Petipa.

155. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136

Ces taches conservées, pas le burin de l’histoire feront passer à la postérité la plus reculée, l’horreur et l’indignation qu’inspire le nom de ce montre.

156. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206

Zulmire, (c’est le nom de la nouvelle épouse), se présente voilée ; il la conjure d’oter ce voile qui lui dérobe tant d’attraits.

157. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -

On vit sur les Theatres de Paris ce nouveau genre de spectacle qui sous le nom d’Opera, n’avoit été connu jusqu’alors que des Italiens.

158. (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22

C’est ici que s’ouvrent les portes du monde enchanté habité par les Ondines, le royaume de la reine Hydrola, — nom que nous aurions volontiers échangé pour un autre, — mais qui n’a rien d’extraordinaire et de blessant pour les oreilles britanniques, et qui d’ailleurs, dans un ballet mimique où l’orchestre seul a la parole, offre infiniment peu d’inconvénients. […] On connaît à peine son nom chez nous ; et ses ouvrages seraient peu goûtés si l’on osait les traduire tous en français.

159. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55

Ce Ministre ne présentoit à Louis quatorze que des projets digues de sa grandeur, propres à augmenter sa gloire, et à immortaliser son nom. […] L’éclat de son nom se répandit et se propagea dans toutes les cours de l’Europe, et la renommée s’empressa d’y proclamer ses vertus(1).

160. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97

Vous serez, leur dit-il, aimables sœurs, vous serez, sous le nom chéri des Graces, l’ornement de l’empire de Cythère ; vous embellirez la beauté même ; les arts, les talens, ne pourront plaire sans vous, rien ne sera aimable sans votre secours, et votre influence, en répandant des charmes sur tous les objets, embellira jusqu’à la vertu. […] Le son des haubois, des flûtes et des chalumeaux porte au loin le triomphe du Berger ; l’echo fait retentir son nom ; Philis le répéte tout-bas et son cœur lui répond.

161. (1936) Philosophie de la danse

Saint Augustin confesse qu’il s’est demandé un jour ce que c’est que le Temps ; et il avoue qu’il le savait fort bien quand il ne pensait pas à s’interroger ; mais qu’il se perdait dans les carrefours de son esprit dès qu’il s’appliquait à ce nom, s’y arrêtait et l’isolait de quelque emploi immédiat et de quelque expression particulière. […] Qu’est-ce qu’une métaphore, si ce n’est une sorte de pirouette de l’idée dont on rapproche les diverses images ou les divers noms ?

162. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17

Le corps s’est alors agité, les bras se sont ouverts ou resserrés, les pieds ont formé des pas lents ou rapides, les traits du visage ont participé à ces mouvements, tout le corps enfin a répondu par des positions, des sauts et des attitudes, aux sons dont les oreilles étaient frappées ; et c’est ainsi que le chant, qui était l’Expression d’un sentiment, en a fait développer une seconde qui existait chez l’homme, à laquelle on a donné le nom de Danse ou de Ballet.

163. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43

Elle ne sait pas signer son nom et ne lit que les imprimés.

164. (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268

J’avais vu son nom sur des affiches lorsqu’elle était venue à Paris, mais je m’étais refusé à l’aller voir danser.

165. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96

L’acteur qui le représentoit prit son nom, et à l’aide de son masque, sa ressemblance ; ce fut dans la comédie des nuées, écrite par Aristophane, que l’homme le plus instruit et le plus sage de la Grèce se vit impunément jouer sur le théatre.

166. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « III. Éducation. » pp. 24-35

Puis elle faisait monter sur elle sa femme de chambre, lui ordonnant de peser, de tout son poids, sur cette partie du corps où, comme le disait ce farceur d’Arnal, le rein change de nom. » Et M. de Boigne d’ajouter dans ses amusants Mémoires : « Avec le temps, elle s’habitua si bien à ce fardeau domestique, qu’elle en arriva à porter sa mère et sa sœur.

167. (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205

C’est ce menu fretin que Nestor Roqueplan baptisa du nom de rats ; d’où la boutade de Mme de Girardin : « Des rats, ces demoiselles qui n’ont déjà plus de cheveux ! […] Les premières loges avaient des titulaires portant des noms illustres : marquise de Gontaut-Biron, Mmes de Vatry, Schickler, James de Rothschild, les duchesses de la Rochefoucauld, d’Istrie, de Trévise, d’Albuféra, de Dino, etc.… La grande avant-scène de gauche formait la loge royale, celle d’en face appartenait à la marquise Aguado, toujours entourée des plus jolies femmes de la colonie espagnole.

168. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71

Nous avons aussi des instructions pastorales de plusieurs évêques de Flandre contre les danses ; je me contenterai de citer sur cela les noms de quelques-uns de ces évêques et la date de leurs instructions. […] Voilà, si je ne me trompe, le plaisir que vous croyez rendre innocent en lui donnant le nom de danse, en couvrant ainsi le crime sous le voile d’un jeu et d’un divertissement permis : Ludi tegmine crimen obnubitis… Otez toute impudicité, et vous aurez bientôt ôté les danses : Tolle libidinem, sustuleris choream.

169. (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24

Dans ce coin tout encombré d’herbes et de fleurs sauvages se dresse une croix de pierre toute neuve et toute blanche encore ; un rayon égaré y trahit le nom de Giselle. […] Ce rôle est désormais impossible à toute autre danseuse, et le nom de Carlotta est devenu inséparable de celui de Giselle.

170. (1927) Paul Valéry philosophe de la danse

Quant à l’ « étonnante et extrême » Athikté, elle aurait pu avoir nom Carlotta ! […] Et ce n’est guère par un hasard que, tout au long de cette paraphase, le nom de Goethe s’est constamment insinué sous ma plume, mais par la plus pressante des analogies et l’irrésistible effet des « affinités électives ».

171. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166

… L’ami lui dit le nom à l’oreille.

172. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187

Qu’on nous donne des chrétiens vraiment dignes de ce nom, et l’on verra qu’ils sauront bien trouver le moyen de passer les dimanches et fêtes sans s’ennuyer, et cependant sans faire ni se permettre rien qui offense Dieu.

173. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106

L’usage étoit chez les anciens que celui qui avoit composé la déclamation d’une pièce de théâtre, mit son nom à côté de celui du poëte, et il se nommoit artiste de déclamation.

174. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203

se trouvant au château de Varennes près Salency, Monsieur de Belloi, alors seigneur de ce village, le supplia de faire donner en son nom le prix destiné pour la Rosière.

175. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

Les exercices préliminaires étaient autrefois suppléés par des machines connues sous le nom de boîtes, où l’on entrait pour se tourner les pieds en dehors. […] Ce pas est connu dans la contredanse sous le nom de pas de bourrée couru. […] Cette sissone s’exécute en principes comme toutes les autres sissones qui en dérivent, en tendant la jambe ; elle prend le nom de sissone, de celui du sissonnement de la jambe, qui signifie tendre la jambe ; la sissone qu’on nomme sissone tendue, prend le nom de tendue parce qu’elle se prend en effet tendue, c’est-à-dire sans plier, seulement par le mouvement du coude-pied et d’un lâchement de genou de la jambe sur laquelle on est posé. […] Ce tems rentré en glissant, la pointe du pied à terre, est celui qui donne le nom de glissade dessous quand il rentre derrière, et dessus, quand il rentre devant : il n’a point de valeur par lui-même, parce qu’il s’est opéré avec précipitation, en rentrant derrière la jambe qui avait été jetée de côté à la seconde position. […] Du tems de cuisse à la première position, exécuté simplement comme sous le nom de pas de zéphyre.

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