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100. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — X. m. et mme camille flammarion  » pp. 108-

Puis elle me montra un coussin sur un canapé, et me dit : — Voilà où je range ses cheveux après les avoir coupés.

101. (1921) Une dernière étape des « Ballets russes ». La Belle au Bois Dormant pp. 227-231

De même Igor Stravinski qui, dans sa lettre au Times, s’élance à fond de train et la cravache brandie contre les présumés détracteurs de Tchaïkovski, ne serait que Don Quichotte chargeant un troupeau de brebis, — tant d’engouement béat le public « insulaire » a invariablement montré aux auditions du maître russe, — si ce n’était qu’il visât Paris !

102. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre première. » pp. 2-8

Voilà, dis-je, une scène, qui doit offrir un beau désordre, et où l’art du compositeur ne doit se montrer que pour embellir la nature.

103. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120

Adèle inquiète sur le succès du combat, ne peut s’empêcher de montrer quelque trouble : mais rappellant son âme à des sentimens héroïques, elle remet sa défense entre les mains de Raymond, et semble ne plus douter de la victoire.

104. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108

La pantomime, qui en augmenteroit le charme et l’intérêt, ne s’y montrera que foiblement, tant que l’on n’associera pas à l’école de cet art, une école de gestes et d’expression.

105. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136

Hé bien, on le lui montrera, en faisant ce qui n’a jamais été fait dans une ville où les ressources sont immenses en ouvriers et en artistes de toute espèce.

106. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Dans une série de portraits à la manière de La Bruyère, publiée en 1845 sous le titre de Camera lucida, Charles Nisard donnait celui de Véron qui était appelé par antiphrase Modeste ; il le montrait sortant avec fracas du Café de Paris, se jetant dans sa voiture qui le dépose au théâtre, et là recevant, comme un pacha, les caresses de tout un essaim de bayadères. […] « A l’apogée de sa fortune, il ne reniait pas ses mains, il en était fier ; il les montrait avec orgueil, et pour mieux les montrer il ne portait pas de gants, prétendant qu’il n’en avait jamais trouvé d’assez larges.

107. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »

C’est proprement le secret de l’art, et l’écueil ordinaire de presque tous les auteurs qui ont tenté de se montrer sur le théâtre de l’opéra. […] Un auteur moderne, en le maniant d’une manière ingénieuse, a montré que le malheur de cette première tentative ne devait être imputé ni à l’art ni au genre.

108. (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23

Partout où ces oiseaux nichent et se voient fréquemment, l’air est toujours limpide et pur. » Puis tout d’un coup, lorsqu’elle s’est bien montrée dans toutes ses grâces légères, disparaît la Sylphide. — Elle fuit, mais pas si vite qu’on ne puisse l’atteindre, ou du moins qu’on ne puisse entrevoir sa robe flottante et le petit bout de son aile cachée dans le vert feuillage du chêne. — Puis, quand elle est disparue, quand elle est rentrée là-haut dans son domaine, l’amant de chanter sa complainte amoureuse : « Où est-elle ? […] Naguère encore, quand elle s’est montrée pour ne plus revenir, l’avons-nous vue assez légère, assez charmante, assez sylphide !

109. (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162

Des centaines de lithographies romantiques nous montrent la ballerine négligeant d’effleurer la terre, emportée par une cabriole ailée qui escalade le ciel. […] La danse, après tout, n’a d’autre but que de montrer de belles formes dans des poses gracieuses et de développer des lignes agréables à l’œil ; c’est un rythme muet, une musique que l’on regarde.

110. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185

XVIII On triomphe d’une brune sans grande peine : il suffit de se montrer avec elle extrêmement réservé, indifférent, et de faire la cour à une de ses amies.

111. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16

Le Sultan les caresse d’abord ; mais comme ils se montrent inexorables, il les chasse : Arlequin les suit, sous prétexte de les appaiser.

112. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96

L’acteur affublé de ces deux visages, ne devoit jamais montrer la face entière au public, et a l’éxemple d’un soldat bien exercé, il falloit qu’il fit souvent le quart à droite, et le quart à gauche ; tout cela, Monsieur, est ridiculement plaisant, et n’inspire rien en faveur des masques, et de ceux qui les portoient.

113. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218

L’horison s’entrouvre : le jardin disparoît et fait place au Palais brillant du soleil(1) : Apollon est assis sur un trône éclatant ; ce Dieu veut se montrer dans toute sa gloire : les Astres, les Constellations, les Heures, les Muses et les Arts l’environnent : Admète et Alceste se prosternent, et lui expriment leur gratitude.

114. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145

Comme mon pere étoit Capitaine de son Quartier, il fut prié de la fête, & m’y mena : j’y dansai une Entrée à la Suisse, que Saint-André m’avoit montrée ; les Bourguemestres batirent des mains, & me firent boire razade dans un petit verre, à la santé des Cantons. […] C’est pourquoi les plus fameux Maîtres de Danse répugnent aujourd’hui à montrer à leurs Ecoliers les contre-danses, qui n’ont que le caprice pour tout principe.

115. (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205

Nestor Roqueplan affirme qu’il n’y eut jamais de loge infernale à l’Opéra : sauf la loge de l’Empereur et la loge voisine, réservée pour la Maison de celui-ci, sauf les deux loges en face et les deux avant-scènes du rez-de-chaussée, toutes les loges d’avant-scène, prétend-il, étaient occupées par des hommes, et organisées en omnibus, c’est-à-dire partagées entre plusieurs souscripteurs, dont un seul était titulaire : « On n’y a jamais tenu de conciliabules infernaux… J’ai compté, il est vrai, parmi les abonnés d’une de ces loges ; on y put remarquer souvent, au nombre des plus assidus et des plus voyants, Balzac, naïvement heureux de montrer au public la pomme de sa fameuse canne. […] Et puis quelques-unes montrent de solides qualités intellectuelles.

116. (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24

Dès sa plus tendre jeunesse, Carlotta montra pour la danse la vocation la plus décidée, et dès l’âge de sept ans, elle était engagée au théâtre de Milan, on elle exécutait des pas de premier sujet. On l’appelait dès lors la petite Héberlé, comme l’on dirait aujourd’hui la petite Grisi, d’un enfant qui montrerait des dispositions merveilleuses ; car, en ce temps-là.

117. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »

Lorsque Louis XII voulut montrer toute la dignité de son rang, à la ville de Milan, il ordonna un bal solennel où toute la noblesse fut invitée.

118. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre VI. Défauts de l’exécution du Plan primitif de l’Opéra Français »

Dans les Bals de cérémonie, elle n’était qu’un mouvement sans objet, une occasion toujours la même de montrer les grâces de la figure, et les belles proportions du corps.

119. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10

De là, en particulier, toutes les fausses maximes que bien des gens avancent et soutiennent en faveur des danses, tout ce qu’ils opposent aux autorités et aux raisons par lesquelles ceux que la vérité éclaire et instruit en montrent le danger et le mal.

120. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Poste-face, Post-scriptum , ou. Réflexions sur l’incertitude des jugemens en matière de Littérature. » pp. 38-48

Ne peut-on pas dire d’abord que le vrai beau devant plaîre généralement, ne saurait se montrer sans exciter l’admiration, & que tout ce qui n’est pas lui nous rebute, nous fatigue ?

121. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Apelles et Campaspe, ou la Générosité d’Alexandre. Ballet pantomime. » pp. 177-189

Il lui demande s’il n’a point quelques portraits de femmes à lui montrer.

122. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182

Les maîtres de ballets en voulant faire briller la richesse de leur imagination, n’ont montré que la médiocrité de leurs conceptions, et par une inconséquence rare, ils ont donné une si prodigieuse extension à ce sujet, que les fils propres à en former la trame, se sont rompus.

123. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189

Lucile Grahn Cette blonde fille du Danemark entrait à l’Opéra, au mois de juillet 1838, — par la porte vermoulue d’un ancien ouvrage démodé, le Carnaval de Venise… Là-bas, à Copenhague, — la vieille et sainte ville, enfouie au fond du Nord, qui vous apparaît avec son gothique entourage de basiliques romanes et de maisons pointues, — elle s’était montrée, à l’âge de quatorze ans, dans le rôle de la princesse Astride, de Waldemar, et dans le principal personnage de Hertha, deux ballets empruntés aux chevaleresques traditions et à la mythologie scandinaves… Et ses compatriotes avaient fait fête à l’envi à ce prodige enfantin, dont toutes les convoitises se portaient vers la France, — cette France qui donne, quand il lui plaît, aux comédiens et aux danseuses de grandes et sublimes leçons !

124. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IX. L’escadron volant de la rue Lepeletier. » pp. 190-203

C’étaient Troisvallets, Simon, Rousseau, Thibert, Saville ; Anna Rust, une fillette privilégiée, musicienne comme sainte Cécile, et d’une sagesse si éclatante, que « les machinistes eux-mêmes se montraient poiis avec elle ! 

125. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260

Les passions pourront - elles se montrer & percer le voile que l’Artiste met entre le spectateur & lui ? […] Le Maître de Danse ainsi que le Peintre, après avoir enseigné à son éleve les pas, la maniere de les enchaîner les uns avec les autres, les oppositions des bras, les effacements du corps & les positions de la tête, devroit encore lui montrer à leur donner de la valeur & de l’expression par le secours de la physionomie. […] Je vous laisse à penser, Monsieur, s’il est possible d’imaginer que de pareils fardeaux aient été créés pour la Danse ; ajoutez encore l’attirail, le ventre, les mollets, les cuisses postiches & les échasses, & vous verrez qu’il n’est pas probable que cet accoûtrement ait été imaginé par un Art enfant de la liberté, qui craint les entraves d’une mode embarrassante, & qui cesse de se montrer dès qu’il cesse d’être libre.

126. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »

Dans ce moment les Galions français se montrent.

127. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

La conversation se montrait non moins épicée que la cuisine. […] Le duc refusa, et la danseuse se montra fort humiliée de ce refus.

128. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22

Ne s’y donnent-elles pas dans les mouvemens étudiés et contraints qui font proprement les danses, des airs de mollesse qui ne montrent que trop le dérèglement intérieur de l’ame ?

129. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125

C’est qu’il faut bannir de vos noces les mauvaises chansons, qui sont les cantiques du diable ; les courses et le concours des jeunes gens, dont les discours et les manières ne montrent que trop qu’ils sont dominés par l’impureté : Omnia turpia cantica, quæ sunt satanica, inhonestas cantilenas, immundorum juvenum circuitiones aufer à nuptiis… Car celui qui, au temps même de ses noces, ne peut souffrir ni les danses, ni les instrumens qui les animent, ni les chants mous et dissolus, ne pourra guère dans la suite faire ou rien dire d’indécent ou de honteux : Nam qui neque tibias, neque saltantes, neque fractos cantus sustinuerit, idque tempore nuptiarum, vix ipse in animum induxerit ut turpe aliquid un quàm aut faciat aut dicat  ».

130. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Avant-propos »

Le petit Moliere [Mollier] avait à peine montré, par deux ou trois airs qu’on pouvait faire mieux.

131. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114

Bossuet, dans ses réflexions sur la comédie, (tom. 7, p. 643.) s’applique à montrer que l’assistance aux spectacles, défendue en tout temps, l’est encore plus les jours de dimanches et de fêtes.

132. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212

Je ne m’aviserois pas, certes, d’entretenir M. de Voltaire de ces jeux d’enfans, et de lui montrer les marionnettes, si je ne savois qu’après avoir éclairé le monde littéraire du feu de son génie, et avoir passé seize heures de la journée à embellir les arts, à donner de grands modèles dans tous les genres, et s’être élevé par la puissance de son imagination jusques dans les plus hautes régions des connoissances humaines, il se plaisoit à descendre sur la terre, à danser les soirs des branles aux chansons, à rire de mauvais contes bleus, et à les trouver couleur de rose.

133. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Horaces. Ballet tragique. » pp. 35-50

Il se précipite dans les bras de Procule ; Fulvie tombe aux genoux de son père ; le vieil Horace serre dans ses bras son fils et son ami ; Procule, qui veut que ce moment soit l’époque de la félicité d’Horace, lui donne Fulvie ; il accepte ce bienfait avec transport ; son père se saisit de ses trophées, les porte en triomphe, et on l’emmène pour le montrer au peuple.

134. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458

Pendant le temps qu’on exécute une ritournelle majestueuse, on voit descendre une divinité, l’illusion commence : mais à peine le char a-t-il percé le plafond, que les cordes se montrent, et l’illusion se dissipe.

135. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXIV, comment m. claretie m’a décidée à écrire ce livre » pp. 272-285

Le statuaire Rodin nous montrera peut-être ses traits fins et ses yeux vifs au prochain Salon, car il est occupé présentement de faire le buste et, je crois même, la statue de la comédienne.

136. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177

Elle m’envoya chercher et me demanda de lui montrer une de mes robes.

137. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XXI, choses d’amérique » pp. 232-249

Il l’ouvrit en riant et me montra le contenu.

138. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147

Il n’est pas nécessaire que je m’arrête ici à montrer combien tout ce qui est au-delà de ce que je viens de dire, peut devenir dangereux pour de jeunes demoiselles, et combien les suites en peuvent être funestes.

139. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Cinquième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 92-100

Ayant dégusté son café avec beaucoup de grâce, le Caleb du château d’Autremont emporta les tasses, me montra que l’appartement était muni de sonnettes, dans le cas où j’aurais besoin de quelque chose et se retira en me souhaitant une bonne nuit.

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