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61. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VIII. De la Musique naturelle attribuée à Dieu comme l’Auteur de la Nature. » pp. 183-194

Pline dit que Hérophilus, aussi fameux Médecin que Musicien, fut des premiers qui mit en usage la méthode de guérir les maladies par l’étude des battemens du poulx, suivant les différens âges des malades.

62. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108

Les sublimes tableaux que lui offriraient Homère et Virgile, peuvent être transportés sur la scène ; mais pour les peindre d’une manière parfaite, il faudroit que les danseurs qui consacrent tous leurs momens à leurs jambes et à leurs mouvemens plus ou moins accélérés, en donnâssent une partie à l’étude des passions ; qu’ils exerçâssent leur ame à s’en bien pénétrer, et leurs bras, et leur physionomie, à les exprimer avec énergie.

63. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XIII, mes danses et les enfants » pp. 134-145

Il abandonna ses études et échappa complètement à l’influence et au contrôle de sa mère.

64. (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268

Toute la journée, mises à part les heures d’études et d’exercices, les enfants jouent dans la forêt qui s’étend tout autour de l’école.

65. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

Au travail de la barre, gymnastique essentielle, aussi nécessaire à la danseuse que la gamme l’est au pianiste, s’ajoutait l’étude des mouvements et des figures qui constituent la grammaire de la chorégraphie, des pointes, des ronds-de-jambe, des jetés-battus, des pirouettes, des entrechats. […] On verra plus loin (car cette liaison mérite une étude à part) quelle souffrance la séparation causait à son ami. […] Elle devait son succès à l’étude, qui tirait le meilleur parti de ses avantages et désavantages physiques.

66. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32

Platon nous apprend même, en traçant l’idée d’une République parfaite, qu’il falloit qu’on donnât ses premiers soins à régler le corps, avant que de former l’esprit par l’étude des Sciences ; qu’on apprit la Musique pour régler la voix, & la Danse pour donner à toutes ses actions un air noble, dégagé, & une grace qu’on ne peut acquérir sans cet exercice. […] Ainsi la Danse prophane n’a pas seulement passé chez les Anciens pour un simple divertissement, mais aussi pour une espece d’étude & d’aplication nécessaire, pour régler tous nos mouvemens & même nos passions les plus dominantes.

67. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93

Comme si nous n’avions pas des occupations meilleures, et comme si cette vie étoit si longue, que pour la passer, il en faille donner une partie à une étude, laquelle a pour perfection de savoir faire le fou en compagnie, par des mouvemens et des gesticulations étranges ! Les chrétiens ont une science qui doit posséder entièrement leurs cœurs, savoir : la connoissance du vrai Dieu, l’étude et la méditation des choses célestes, le mépris de cette vie, les préceptes de bien et saintement vivre, de savoir renoncer au monde et à ses voluptés.

68. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Sixième lettre. Juste Odoard à Mlle de Nesmes, à Lyon. » pp. 433-445

L’année suivante, elle débutait à Naples, où elle était portée aux nues ; puis elle revenait par Rome et je me trouvais là, faisant mes études. […] C’était l’heure de l’école de dessin ; de là je me rendis à mes études ordinaires et ne revis Mlle Fiori que le lendemain soir, quand on porta le corps à l’église.

69. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XI » pp. 148-166

Cette loge est une curieuse étude.

70. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Poste-face, Post-scriptum , ou. Réflexions sur l’incertitude des jugemens en matière de Littérature. » pp. 38-48

Ne peut-il pas arriver, me répliquera-t-on, que tel homme qui s’arroge le droit de prononcer définitivement, réunisse toutes les connaissances répandues parmi l’espèce humaine, ou possède ce tact fin, cette délicatesse de goût, qui devient l’interprète du goût universel, dont il est comme émané ; car qu’est-ce que la saine critique, si ce n’est le sentiment intime de ce qui peut généralement nous plaîre ; sentiment acquis par l’étude ou par l’heureuse conformation des organes ?

71. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX [X] » pp. 97-106

Il assure que pour enseigner la grammaire, il est essentiel de s’appliquer à l’étude de la musique, parce que sans elle le grammairien ne pourroit enseigner l’usage du Métre et du Rithme.

72. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

De toutes les dispositions que la nature nous donne pour une étude quelconque, le goût est incontestablement la première. […] Nous ne prétendons pas, toutefois, faire de chaque élève un artiste accompli ; mais l’amour-propre exige qu’on se mette à l’abri du ridicule, en quelque lieu qu’on se présente ; et c’est en s’appuyant sur de bons principes de danse, et seulement après de longues et sérieuses études, qu’on évitera ces manières triviales, fruit de l’ignorance, du mauvais goût et du mauvais ton. Il faut se méfier de ces prétendus maîtres, comme il y en a beaucoup maintenant, qui abusent de l’ignorance où l’on est aujourd’hui sur les vrais principes, pour professer un art dont ils n’ont fait souvent qu’une étude superficielle ; et qui, loin de réprimer ou de corriger vos défauts, ne font que les accroître et les multiplier. […] Pour faciliter cette étude, on se tiendra légèrement à quelque chose, afin de ne pas rompre le maintien, et de ne pas prendre de force contraire au plié que l’on exécutera des genoux et des coudes-pieds le plus bas possible, sans lever les talons, la ceinture prise sur les hanches avancées, pour maintenir le corps d’aplomb et ouvrir les hanches, afin de contribuer au-dehors, le genoux tournés sur les côtés, et le plus en dehors qu’il sera possible. […] Voilà la plus grande difficulté à laquelle peu de danseurs arrivent avec succès, et surtout un danseur de ville dont l’étude et les exercices pour la danse sont presque toujours insuffisans.

73. (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »

Quant à moi, content de lui avoir donné un essai de ce genre de spectacles, en qualité de compositeur, s’il daigne applaudir à mes recherches, à mes études, aux efforts que je fais pour l’amuser, je ne lui demande pas davantage ; cette gloire me suffit.

74. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IX. De la Musiqué Elémentaire attribuée aux Esprits Aëriens & aux Oracles de l’Antiquité. » pp. 195-211

Mais les Philosophes qui se mêlent de vouloir pénétrer dans les secrets de Dieu par l’Etude de la Théologie sécrete, attribuent ces événemens singuliers & ces sortes de voix aux Esprits élémentaires.

75. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

*** Ces résistances stimulèrent l’amour-propre de Fanny et l’excitèrent à déployer tout son savoir dans un nouveau ballet qui était à l’étude, l’Ile des Pirates. […] En mai 1836, peu de temps avant la première représentation du Diable boiteux, le Monde dramatique publiait une étude intitulée : la Danse, les danseurs et les danseuses en Espagne. […] Voir notre ouvrage Franz Grillparzer, Paris, 1900, et notre étude Grillparzer in Frankreich, publiée dans le Grillparzer-Jahrbuch, t. 

76. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155

« Mes études médicales, dit-il, me faisaient distinguer, plus sûrement peut-être que les autres juges, celles que leur santé, leur tempérament, les proportions de leur corps, la finesse des attaches des pieds et des mains, rendaient les plus propres à étudier l’art de la danse51. » L’important service médical que le médecin directeur fit fonctionner à l’Opéra eut en particulier pour heureux résultat de contraindre les danseuses à l’assiduité. […] Quand il s’agissait de former des élèves ou de mettre des pas à l’étude, ces maîtres étaient les pontifes d’un dogmatisme intransigeant.

77. (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Première partie] »

Il faut encore se donner la grâce, la noblesse, l’élégance des attitudes, cela vaut bien une étude du dessein.

78. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVII. » pp. 173-184

Est-il question d’une forêt antique et éloignée plantée par la main des siècles ; le peintre-paysagiste ne portera ses regards que sur les objets qui l’entourent : il choisira dans son portefeuille, les études qu’il aura faites, et il nous conduira tout droit à une des forêts les moins éloignées de son domicile.

79. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Ils venaient là dans des toilettes qui étaient le fruit de leur longue patience, servie par le génie du tailleur, par l’habileté du coiffeur et du valet de chambre, fièrement cambrés dans leur habit qui les pinçait à la taille, le cou sanglé dans de hautes cravates qui montaient jusqu’aux oreilles, les cheveux s’enlevant en un toupet dont la fougue était le résultat d’études profondes. […] Voir, pour plus de détails, notre étude sur le même, sujet, dans la Revue musicale de Lyon, 5e année (1907), n°s 2 à 7.

80. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-

Lorsque j’eus fini l’étude de mes danses, je me mis en quête d’un impresario.

81. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VI. » pp. 40-55

Cette étude le déterminera toujours à en faire un beau choix ; ces peintures dailleurs pouvant être tour à tour historiques, poètiques, critiques, allégoriques et morales, il ne peut se dispenser de prendre des modèles dans tous les rangs, dans tous les états, dans toutes les conditions.

82. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71

Une étude approfondie, soutenue par l’expérience m’a prouvé que ces principes étroits étoient plus propres à opposer une barrière à la danse qu’a étendre ses progrès.

83. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VI. » pp. 78-109

Cette étude le déterminera toujours à en faire un beau choix ; ces peintures d’ailleurs, pouvant être tour-à-tour historiques, poétiques, critiques, allégoriques & morales, il ne peut se dispenser de prendre des modeles dans tous les rangs, dans tous les états, dans toutes les conditions.

84. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91

Mes études se trouvent très mal de cette émigration annuelle, mes dispositions d’esprit en ressentent une fluctuation qui ôterait toute vue d’ensemble à mon travail ; votre jeune architecte me rendra donc grand service s’il marche vite, et je suis résolu à lui en savoir gré de toutes les manières.

85. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287

Ceux-là se tromperaient étrangement qui se les figureraient, à l’égal de leurs devancières, insouciantes, capricieuses, prodigues ,d’un pouvoir irrésistible, pleines d’attraits et de périls… On rencontre bien encore, par ci, par là, quelques-unes de ces Circés qui changent les fils de familles en rochers ou en brutes… Mais l’époque n’est plus où ces joyeuses excommuniées se dédommageaient d’être damnées dans l’autre monde en menant une existence damuable dans celui-ci… La vie d’une fille de magasin signifiait alors la liberté, la fantaisie poussées jusqu’aux extrêmes limites, les caprices partagés ou subis, l’argent facilement gagné, plus facilement dépensé… On appelait filles de magasin les demoiselles du chant et de la danse, qui, n’ayant pas achevé leurs études, figuraient sur la scène avant d’être engagées.

86. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Véron, l’administrateur Duponchel, qui commençait à se passionner pour la Tentation, que l’on allait mettre à l’étude, marchanda les diables à l’œuvre de Nourrit, et le papa Taglioni s’en vint plus d’une fois pleurer auprès du directeur sur la mesquinerie de son enfer. […] Tout en se livrant à ces études de danse à outrance, Carlotta n’avait pas abandonné le chant.

87. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Lettre, d'un grand sauteur. A M. de Voltaire, sur les pantomimes . » pp. 17-37

Enfin, attiré vers l’étude des Lettres par une sensibilité naturelle, qui seule peut donner du prix à ses Ouvrages ; content de remplir ses momens par un travail qui plaise à son âme ; tandis que ses ennemis s’agiteront pour lui nuire, il vivra dans le repos7. » « Ces réflexions, qu’il fallait faire une fois », (quelle en est la nécessité, me demandera-t-on peut-être, sans que je juge à propos de répondre) « ces réflexions, dis-je, qu’il fallait faire une fois, n’éclaireront point le préjugé, & n’adouciront point la haîne ; on ne l’a pas espéré : mais aux yeux des hommes sages & désintéressés, qui y reconnaîtront le caractère qui les a dictées, elles serviront de réponse à l’injustice & à la calomnie8 ».

88. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIII. » pp. 181-196

Je conviens, me repliquerez vous peut-être, que le fameux Blondy lui-même interdisoit cette étude à ses élèves ; mais avouez du moins que la Chorégraphie est nécessaire aux maîtres de ballets.

89. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIII. » pp. 362-395

Je conviens, me repliquerez-vous peut-être, que le fameux Blondy lui-même interdisoit cette étude à ses Eleves ; mais avouez du moins que la chorégraphie est nécessaire aux Maîtres de Ballets : non, Monsieur, c’est une erreur que de penser qu’un bon Maître de Ballets puisse tracer & composer son ouvrage au coin de son feu.

90. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »

Aussi la bonne coupe théâtrale d’un poème de cette espèce suppose seule dans son auteur plusieurs talents, et un nombre infini de connaissances acquises, une étude profonde du goût du public, une adresse extrême à placer les contrastes, l’art moins commun encore d’amener les divertissements, de les varier, de les mettre en action ; de la justesse dans le dessein, une grande fécondité d’idées, des notions sur la peinture, sur la mécanique, la danse, et la perspective, et surtout un pressentiment très rare des divers effets, talent qu’on ne trouve jamais que dans les hommes d’une imagination vive et d’un sentiment exquis ; toutes ces choses sont nécessaires pour bien couper un opéra ; peut-être un jour s’en apercevra-t-on, et que cette découverte détruira enfin un préjugé injuste, qui a nui plus qu’on ne pense au progrès de l’art.

91. (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162

Évidemment ces nombreuses créations d’auteur dramatique se dévouant au ballet, ses jugements sur tant d’interprètes fameux d’œuvres quelquefois oubliées se prêteraient à une étude infiniment plus vaste et que nous nous réservons.

92. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55

Un fait bien simple et qui détruit l’illusion de l’auteur, c’est qu’il faut deux et trois années d’étude pour dresser une bonne figurante, et six ou sept années d’un exercice semblable pour former une première danseuse, née dailleurs avec des dispositions : on ne peut donc en quatre mois faire ce qui exige un nombre d’années considérable.

93. (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205

Cependant que d’études !

94. (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24

Elle y chanta aussi, et Malibran, cette poésie vivante, cette intelligence si prompte et si fine, lui conseilla d’abandonner la danse et de se livrer exclusivement aux études musicales.

95. (1927) Paul Valéry philosophe de la danse

Stéphane Mallarmé, homme d’intérieur frileux et sédentaire, fait pourtant entendre que ses « études de danse », reportages sibyllins, avaient été « crayonnées au théâtre ».

96. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Les pourparlers qu’il eut avec l’homme d’affaires de Fanny prirent bonne tournure, si bien qu’il remit à l’étude le Diable boiteux, la Gypsi et la Tarentule. […] « C’est comme un conte de fées, dit-il ; on s’endort sur la paille et l’on se réveille dans un palais151. » Fanny intervint plusieurs fois dans l’étude de pièces nouvelles.

97. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »

La nature avait donné à ces deux hommes le génie et les qualités extérieures ; l’application, l’étude, l’amour de la gloire, leur avaient développé toutes les ressources de l’art.

98. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484

Le Traité de Mr. de Cahusac sur la Danse, est aussi nécessaire aux Danseurs que l’étude de la Chronologie est indispensable à ceux qui veulent écrire l’Histoire ; cependant il a été critiqué des Personnes de l’Art, il a même excité les fades plaisanteries de ceux qui par de certaines raisons ne pouvoient ni le lire, ni l’entendre.

99. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

« Le talent de Mlle Taglioni, dit-elle, n’a pas de limites ; il se révèle dans le moindre geste, le moindre mouvement de ses pieds, de sa tête et de ses bras ; c’est un talent qui charme toujours, parce qu’il est complet et possède toutes les ressources de la véritable danse, depuis la perfection technique que donne l’étude, jusqu’à la grâce native et la délicatesse des poses qui ne s’apprennent pas. » D’après la Revue de Paris, le grand succès du 21 septembre aurait été entièrement spontané.

100. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129

Le génie des trois danseurs qui embrasseront particulièrement ces genres, doit être aussi différent que leur taille, leur physionomie, et leur étude.

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