Thérèse, unie aujourd’hui en Prusse par un mariage de la main gauche à un prince royal, prévenait moins en sa faveur ; sa taille était plus élevée que celle de sa sœur. […] Une de ces demoiselles est d’une taille un peu élevée et extrêmement svelte, et l’autre est une perfection, soit comme femme, soit comme danseuse. […] Ils donnent les noms des deux sœurs, indiquent leur taille et la nature du talent de chacune d’elles. […] « Toutes les bouquetières du voisinage, raconte-t-elle, avaient été dépouillées d’avance, certaines loges avaient été armées en fleurs depuis le commencement de la soirée, un arsenal formidable de bouquets de toutes tailles, de toutes grosseurs avait été partagé dans les loges, dans les balcons de côté.
C’était un avocat, très petit de taille, mais d’une très grande réputation, qui se trouvait parmi les invités et qui avait écrit, me dit-on, ce méchant article.
Il tint même conseil à l’ombre d’un arbre séculaire qui domine toujours de sa taille superbe la colline dressée en face du château.
La beauté de la taille, celle des proportions, et l’élégance qui résulte de cet heureux ensemble relevé encore par le charme de la figure, seront insuffisantes pour le succès, si l’homme qui possède ces qualités, n’est appellé par goût et par inclination à la pratique de son art, et aux soins pénibles et journaliers qu’il exige impérieusement.