Racine fit Athalie et les Plaideurs ; Montesquieu écrivit l’Esprit des loix, etle Temple de Gnide ; la plume de Voltaire traça tout-à la fois Zaïre et la Henriade, le siècle de Louis XIV.
Oublions la chaleur avec laquelle les Italiens parlent de leur opéra, et le ton de dédain dont les critiques du dernier siècle ont écrit en France, des Ouvrages Lyriques de Quinault. […] Quinault en voyait un131 digne de l’admiration de tous les siècles, où elles pouvaient être peintes avec le pinceau le plus vigoureux, et qui s’était emparé avec raison de l’Histoire.
Un autre jour les Vieillards42 rassemblés au son des Instruments champêtres représentaient par des figures expressives, des pas graves, des mouvements de caractère, la simplicité, la sagesse, le bonheur du siècle de Saturne.
Telle aurait paru Mademoiselle Sallé, si elle fût venue dans un siècle, où la Danse théâtrale eût été mieux connue.