— Merci, reprit-il ; quand vous êtes là, je me sens mieux.
Quand on ne parle ni à l’esprit, ni au cœur, il faut parler aux sens et surtout aux yeux48. » Puisque le ballet ne parlait « ni à l’esprit, ni au cœur », il n’était pas nécessaire de se mettre en quête d’un livret poétique, émouvant, construit avec logique.
Elle y dansait la gargouillade, pas brillant et difficile que les femmes n’osaient pas aborder : Quand, sous la forme d’un démon, Lyonnais parait sur la scène, Chacun dit à son compagnon : Je sens que le diable m’entraîne.
La félicité des sens.