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9. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13

En France, dites-vous, on grave tout ; tant pis, Monsieur ; n’auriez-vous pas pu ajouter qu’en France on imprime tout : c’est encore une folie ; la sottise reste aux marchands de musique. Plusieurs d’entre eux ne savent ni la lire ni l’apprécier ; tout le bénéfice reste aux compositeurs : ils ont l’art de faire payer chèrement leurs productions : le public, amateur de nouveautés, achète tout, et est trompé à son tour : enfin, la plupart de ces ouvrages sont éphémères ; ils restent long-tems entassés sur les rayons des marchands, qui finissent toujours par les vendre à la livre. […] Reste à savoir, s’ils en méritent la peine et la dépense.

10. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre III » pp. 27-43

Pour tout le reste, elle m’imite. […] VIII Aucune femme ne vient au monde vertueuse pourtant, elle le devient ou reste ce qu’elle était. […] Elle a de beaux restes. […] Au reste, personne ne demandait plus de ses nouvelles.

11. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Question d’un homme de lettres sur la musique. » pp. 4-7

En France, on grave tout ; tout se conserve, et au bout de plusieurs années on est encore à même de comparer les différens dégrés de mérite ; ce qui est bon reste, et ce qui tombe dans l’oubli, a été jugé par le tems. […] En Italie, on écoute attentivement quelques morceaux vantés, et pendant tout le reste de l’ouvrage, on joue, on boit, on mange, ou l’on jase comme dans une place publique, ou dans un café bruyant.

12. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222

Ses restes ont reçus par ordre d’Alexandre les honneurs funébres les plus magnifiques. […] Elle y reste cachée, sans se faire connoître à personne.

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