Suivez ces tendres enfants, depuis leur entrée dans le monde, jusqu’au moment où leur raison se développe c’est la Nature primitive qui se peint dans les sons de leur voix, dans les traits de leur visage, dans leurs regards, dans tous leurs mouvements. […] Voyez ce souris aimable, ces regards de feu, ces mouvements rapides, lorsqu’elle est émue par un sentiment de joie.
Une forte matrone, qui tient les balances, le regard dans les frises, sans voir où elle pose le pied, c’est la justice ; et l’on devine aisément qu’elle va boiter dans la coulisse ; car elle ne sortira pas de scène, sans avoir trébuché.
Mme Balachova nous frappe au premier regard par une certaine plénitude de formes qui diffère de la silhouette stylisée et émaciée de la ballerine moderne et fait songer à ces superbes et majestueuses étoiles d’il y a trente ans, les Del Era, les Heiten.
Carlotta, sœurs divines Aux corselets de guêpe, aux regards de houri …………….. […] Eteignez vos regards, ce n’est plus vous l’Amour !