Les Princes se placent sur l’estrade qui leur est destinée ; les jeux commencent ; les prix sont distribués ; des danses suivent, ces jeux : les Princes s’associent à cette fête et l’embellissent. […] Admète touchant aux derniers instants de sa vie, s’arrête dans un lieu peu éloigné de sa capitale ; il est placé sous une tente.
Dans le couloir étranglé sur lequel elles s’ouvraient, on remarquait une sorte de guérite où, dans les dernières années de la Restauration, le vicomte Sosthènes de la Rochefoucauld, surintendant des théâtres royaux, faisait placer une sentinelle : ce garde du corps… de ballet avait pour consigne d’empêcher que, se trompant, un danseur ne passât du côté des danseuses — et réciproquement. […] … Sur un petit toit, au-dessous, une sentinelle fumait, qui n’avait point été placée à ce poste élevé par le vicomte Sosthènes de la Rochefoucauld. […] Un Anglais, placé au balcon, fut remarqué pour son enthousiasme.
Le jeu des passions, les formes variées qu’elles prennent, suivant les caractères qu’elles subjuguent ou qui les maîtrisent, les événements terribles qu’elles amènent furent pour les inventeurs, comme autant d’études qui les guidèrent dans le premier dessein, et les figures une fois décidées, elles vinrent se placer d’elles-mêmes dans la composition générale.
Le Théâtre lui offrait mille occasions brillantes de la placer avec tous ses avantages.