Il ne se trompoit jamais dans le choix des teintes qu’il devoit employer pour la peindre ; dans les instans, par exemple, où il étoit accablé d’une profonde affliction, il ne faisoit point de gestes ; les traits de sa physionomie et ses larmes accompagnoient son récit ; si dans ces momens pénibles il s’en permet toit quelques uns, ils étoient lents, resserrés, et comprimés par la douleur. […] Celui-ci lui dit avec transport : « permettez, mon ami, que l’écolier embrasse son maître, et le remercie de la grande leçon qu’il vient de me donner. » Garrick suivoit exactement la comédie Française qui réunissoit alors les talens les plus distingués et les plus rares dans tous les genres ; l’ensemble et l’harmonie qui règnoient dans le jeu des acteurs offroient le spectacle le plus enchanteur, et le plus parfait.
Il faut être très en dehors pour devenir un bon Pirouetteur (qu’on nous permette ces expressions d’école).
Nonobstant je vais me permettre d’en donner quelques détails.
Il en communiqua le plan à la Reine qui l’approuva ; mais le peu de temps qui restait ne lui permettant point de se charger des Récits, de la musique et des Décorations ; la Reine, à sa prière, commanda à Lachenaye Aumônier du Roi de faire les Vers ; Beaulieu Musicien de la Reine eut ordre de composer la musique ; et Jacques Patin Peintre du Roi fut chargé des Décorations.