/ 160
53. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VIII. Ballerines étrangères. » pp. 176-189

… Celle-ci avait trop d’intelligence et de ballon pour permettre au bonhomme de transporter chez nous ses façons d’outre-Manche. […] Mais il s’interrompit dès après la première colonne : « Je suis obligé de m’arrêter, déclara-t-il à ses lecteurs ; il n’y a plus d’a dans les casses de l’imprimerie. » On me permettra de ne citer que pour mémoire les noms de mesdemoiselles Fioretti, Boschetti, Salvioni, Mourawief, Granzow, etc.

54. (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo XVIII. Del Passo Gettato, Pas Jeté »

In Teatro è permesso, anzi fassi in effetto il salticello, non per natura del Jeté, ma si permette alla libertà della Scena, dove lice, anzi il più delle volte è necessario, ingrandir le posizioni stesse e farsi passi che per sala sarebbero obbrobriosi; e ciò o per avanzar figura, o per guadagnar quel terreno che ricerca l’azione del Ballante.

55. (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226

J’ignore, Citoyen Conseiller d’État , quels autres moyens de persuasion il emploie pour mettre votre justice en défaut ; mais comme je les crois inférieurs à celui que je viens de citer, je vous prie de me permettre de le réfuter. […] Mais en laissant de côté les considérations et les droits qui me sont particuliers, qu’il me soit permis de faire quelques observations sur les conséquences de cette innovation que l’on cherche à introduire.

56. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIII. » pp. 181-196

L’amour de mon art, et non l’amour de moi-même, est le seul qui m’anime ; et je me persuade que sans blesser quelqu’un, il m’est permis de souhaiter à la danse les prérogatives dont jouit la comédie. […] Si les ballets sont des tableaux vivans, s’ils doivent réunir tous les charmes de la peinture, pourquoi n’est-il pas permis à nos maîtres d’exposer sur le théatre de l’opéra, trois morceaux de ce genre, l’un tiré de l’histoire, l’autre de la fable, et le dernier de leur propre imagination ? […] Je le repète, Monsieur, et je le soutiens ; rien de plus pernicieux qu’une méthode qui rétrécit nos idées, ou qui ne nous en permet aucunes, à moins qu’on ne sache se garantir du danger que l’on court en s’y livrant.

/ 160