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153. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32

On sent qu’il est impossible dans cette dernière distribution de pratiquer de beaux percés et de grandes échappées de vue ; aussi se plaint on de la monotonie et de la symétrie qui règnent dans les décorations : quelque bien pensées et quelque bien peintes qu’elles soient, elles n’offrent que des rues droites, que des allées d’arbres ou de colonnes, et le point de perspective angulaire et pris de côté dont les célébrés Bibien et Servandoni se sont si heureusement servis, n’a pu, faute de moyens, être adopté sur un théâtre étranglé vers le fond, et trop resserré dans ses flancs.

154. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

La Sylphide retirée eût donné tous les marbres de sa villa, pour son ancien royaume de gaz et de toile peinte.

155. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Ce n’est plus du tout l’être fatigué, un peu décrépit, de la description du baron d’Andlaw, qui nous apparaît dans un portrait peint par Lieder en 1824.

156. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

Le visage, miroir fidèle et interprète éloquent des sentimens de l’ame, doit peindre cette douce gaîté qui donne tant de charmes aux réunions des gens bien élevés.

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