Mesdemoiselles Leppich Ire, IIe & IIIe Elles me rappellent la fille d’un brave vigneron d’Argenteuil, devant lequel on parlait de certaines jeunesses du pays qui avaient mal tourné.
Tertullien commence son traité du voile que les vierges doivent porter, par ce principe, « que rien ne peut prescrire contre la vérité, ni la longueur du temps et la succession des années, ni la qualité des personnes qui autorisent certains usages, ni les priviléges particuliers des pays.
Telle est, en France, l’histoire de l’opéra ; cette gloire de notre pays, cette féerie de l’Occident qui semble si souvent rivaliser de luxe, de splendeur, d’éclat et de prestiges avec la magie des légendes orientales. […] Jamais l’Opéra, le pays des miracles, n’avait vu ces prodiges.
Il entretint avec les hommes d’Etat de ce pays une correspondance active dans laquelle il exposait et interprétait ce qui se passait sur le continent ; il leur communiquait ses vues qui tendaient à une lutte sans merci contre la Révolution française, puis contre Napoléon. […] D’ailleurs nul n’est prophète en son pays.