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71. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240

Cependant Clairville et Constance (c’est le nom des deux amans) abordent enfin ; la mort est peinte sur leur visage, leurs yeux s’ouvrent à peine, des cheveux hérissés annoncent leur effroi. […] Je ne me flatte point de pouvoir franchir la distance immense qui m’en éloigne et qui m’en sépare ; ce succès n’est réservé qu’à ceux à qui le génie prête des ailes ; mais j’aurai du moins la satisfaction d’avoir ouvert la voie. […] Fernand ouvre les yeux ; sa vue paroit troublée, il tourne la tête du côté d’Inès : mais quel est son étonnement !

72. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

Clytemnestre et Egisthe se rapprochent : Clytemnestre lui montre en frémissant l’écrit fatal ; elle hésite, et l’ouvre avec un mouvement qui peint l’agi-tation de son ame. […] Déjà le son des trompettes, des timbales et des autres instrumens consacrés à la guerre fait retentir les airs ; des soldats Grecs, marchant en ordre, ouvrent cette entrée triomphale ; ils portent les trophées de la victoire : d’autres sont chargés des trésors et des dépouilles des vaincus ; plusieurs captifs Troyens paroissent dans les fers ; les plus distingués sont enchaînés au char du vainqueur. […] Scène iii, Le tombeau s’ouvre ; on y voit Oreste accompagné des Euménides.

73. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484

L’empressement qu’il a d’abord témoigné a fait prendre le change & en a imposé aux Misogyniens ; ils ont cru voir en lui du zele, & un attachement inviolable à leur Loi ; cependant Clairville & Constance (c’est le nom des deux Amants) abordent à terre ; la mort est peinte sur leur visage, leurs yeux s’ouvrent à peine, des cheveux hérissés annoncent leur effroi. […] Je ne me flatte point de pouvoir franchir la distance immense qui m’en éloigne & qui m’en sépare, ce succès n’est réservé qu’à ceux à qui le génie prête des ailes ; mais j’aurai du moins la satisfaction d’avoir ouvert la voie. […] Fernand ouvre les yeux, sa vue paroît troublée, il tourne la tête du côté d’Inès, mais quel est son étonnement !

74. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59

L’homme est à leurs yeux un geôlier bienfaisant qui leur ouvre les portes de la prison.

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