Voir le récit de cette lutte dans notre ouvrage, Franz Grillparzer, Paris, 1900, p. 183 et suivantes.
Il prétendait que, malgré les prodiges réalisés par les peintres-décorateurs et les couturiers, Véron, jamais satisfait, les obligeait sans cesse à remanier leur ouvrage.
… Elle croise, elle décroise, elle trame la terre avec la durée… Ô le charmant ouvrage, le travail très précieux de ses orteils intelligents qui attaquent, qui esquivent, qui nouent et qui dénouent, qui se pourchassent, qui s’envolent !
Ce secret de l’art est l’ouvrage du tems et de l’habitude ; on ne craint plus alors de reprendre les positions vicieuses que l’on pouvait avoir auparavant.