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16. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « A, son altesse royale. Monseigneur. le duc d'Orléans, petit-fils de France. » pp. -

L’Ouvrage s’est ressenti de son acceuil favorable, auquel j’ai certainement plus attribué le succès qu’il a eu dans le Public, qu’à tout autre mérite ; ce qui fera peut-être trouver extraordinaire à Votre Altesse Royale, qu’au lieu de me contenter de lui en venir témoigner mon humble reconnoissance, j’ose lui faire observer une espece d’engagement auquel Elle ne s’attendoit pas, & qu’elle a néanmoins pris en faveur de l’Histoire de la Danse, comme sœur de la Musique : c’est une cadette qui n’a pas besoin d’une protection moindre que celle que vous avez accordée à l’aînée, pour paroître avec agrément dans le monde.

17. (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 10 mai 1664 »

[…] Enfin, tant d’admirables choses Étant pour moi des Lettres closes, Qui voudrait (en ma place) oser Prendre aucun souci d’en jaser ?

18. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XI. Des danses Baladoires, des Brandons, etc. »

Le grand, l’unique remède est d’oser, avec courage et sans balancer, extirper le mal même jusque dans ses racines.

19. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IX. Opposition singulière des Mœurs des Grecs avec les nôtres »

Égisthe cependant, prince ambitieux, occupé sans cesse de tous les tendres soins qu’inspire le désir de paraître aimable, osait soupirer pour la Reine ; mais toujours dissipée par un exercice, et par des représentations qui remplissaient ses moments et qui suffisaient à son oisiveté, elle n’apercevait les regards, les soins, ni les soupirs d’Égisthe.

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