De là, passant aux folâtreries et gaîtés déréglées qui sont l’ame de la danse, les ministres protestans posent un principe trop ignoré de la plupart des chrétiens, et qu’ils ne devroient cependant jamais perdre de vue : c’est que, « quand l’homme fidèle use de la récréation, ce n’est pas tant pour le plaisir, autrement ce ne seroit pas récréation ; mais il en use pour d’autres fins meilleures et plus nécessaires, comme celles du boire et du manger » : Appliquant ce principe aux gaîtés des danses, contre lesquelles ils s’élèvent, ils disent : « Quand on voudra confronter de telles gaîtés avec les règles de la continence et de la sobriété chrétiennes, il ne se trouvera point que ce soient des choses que l’on puisse jamais accorder.
Les groupes édifient et dénouent d’éphémères architectures, « petits temples roses et ronds » c ; puis tout reflue vers les coulisses, créant la distance et le vide nécessaires pour que paraisse, tandis que les autres restent fixes et comme enchantées, l’étoile Athikté.
De nos jours on a hasardé le merveilleux dans le ballet, et on y a mis la danse en action : elle y est une partie nécessaire du sujet principal.
Elle était difficile et pénible, parce qu’elle était une imitation des combats des Centaures et des Lapithes : les différents mouvements de ces monstres moitié hommes et moitié chevaux, qu’il était nécessaire de rendre, exigeaient beaucoup de force ; c’est par cette raison qu’elle fut abandonnée aux paysans.