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55. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIII. » pp. 362-395

Il ne s’agit que de débiter d’abord que l’Eleve a été indignement enseigné ; que le Maître l’a totalement perdu ; que l’on a une peine inconcevable à détruire cette mauvaise Danse de Campagne & à remédier à des défauts étonnants : il faut ensuite ajouter que l’Eleve a du zele ; qu’il répond aux soins qu’on se donne ; qu’il travaille nuit & jour ; & le faire débuter un mois après. Allons voir, (dit-on,) danser le jeune homme ; c’est l’Ecolier d’un tel ; il étoit détestable il y a un mois.

56. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-

Il est vrai qu’en ce temps-là, Rosita Mauri gagnait quatre cents francs par mois, — pour soutenir toute une famille, — ce qui ne lui permettait pas d’émailler son ordinaire de truffes sous la serviette, de cailles en caisse et d’ortolans à la provençale. […] On avait là, moyennant soixante-dix francs par mois, une grande chambre pour tout faire.

57. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre V » pp. 60-75

Ces études me prirent six mois.

58. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VI » pp. 76-89

Tiens, moi qui te parles, il y a six mois, avant de venir ici, j’étais plus bête qu’une bouteille vide. — J’étais choriste aux Délassements-Comiques, et j’avais des émotions au moment d’entrer en scène.

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