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174. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

On mit ou l’on remit en scène pour elle le Diable boiteux, la Sylphide, la Fille mal gardée, Barbe-Bleue et la Tarentule, spectacles auxquels s’ajoutaient El Jaleo de Jeres et la Cracovienne. […] « Le bien, la raison, la règle ne tiennent plus en bride cette génération rebelle, aveugle devant le mal, sourde à la prière.

175. (1779) Trattato teorico-prattico di ballo « Trattato teorico-prattico di ballo —  Parte prima — Capitolo LX. Delle Capriole » p. 31

All’“Undecima” non vi si puole arrivare che con un intreccio difettoso, e per quanta elasticità si potrà avere, e velocità ne’ piedi, se a questa si giunge, oltre di scomponer tutta la vita, la Capriola sempre sarà sforzata e male riuscirà all’occhio delli Spettatori.

176. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »

Le mal était trop grand sans doute lorsqu’on y appliqua le remède extrême, il ne servit qu’à rendre cet exercice plus piquant : la jeunesse Romaine prit la place des danseurs à gages qu’on avait chassés ; le peuple imita la noblesse, et les sénateurs eux-mêmes n’eurent pas honte de se livrer à cet indigne exercice.

177. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Ce que la Guimard veut, bon gré, mal gré, il faut qu’on le veuille.

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