On mit ou l’on remit en scène pour elle le Diable boiteux, la Sylphide, la Fille mal gardée, Barbe-Bleue et la Tarentule, spectacles auxquels s’ajoutaient El Jaleo de Jeres et la Cracovienne. […] « Le bien, la raison, la règle ne tiennent plus en bride cette génération rebelle, aveugle devant le mal, sourde à la prière.
All’“Undecima” non vi si puole arrivare che con un intreccio difettoso, e per quanta elasticità si potrà avere, e velocità ne’ piedi, se a questa si giunge, oltre di scomponer tutta la vita, la Capriola sempre sarà sforzata e male riuscirà all’occhio delli Spettatori.
Le mal était trop grand sans doute lorsqu’on y appliqua le remède extrême, il ne servit qu’à rendre cet exercice plus piquant : la jeunesse Romaine prit la place des danseurs à gages qu’on avait chassés ; le peuple imita la noblesse, et les sénateurs eux-mêmes n’eurent pas honte de se livrer à cet indigne exercice.
Ce que la Guimard veut, bon gré, mal gré, il faut qu’on le veuille.