Pylade, qui arrive avec les siens et qui poignarde Thoas, au moment que le Tyran lève le bras pour frapper Oreste, fait renaître le calme et la joie ; et par une transition subite et naturelle, on se livre aux expressions délicieuses de l’amitié et de la reconnoissance. […] Sa lampe s’éteint ; il court, il s’agite, la frayeur s’empare de ses sens ; il se jette à genoux, lève ses bras tremblans vers le ciel et implore sa clemence : il veut se relever ; mais ses jambes ne peuvent supporter le poids de son corps ; il tombe, il appelle et l’on vient à son secours. […] Iphigénie, le visage couvert d’un voile, est prosternée aux pieds de l’autel, dans l’attitude de la douleur ; Oreste se met à genoux et présente sa tête au glaive dont on arme la main tremblante de la Prêtresse ; son bras semble se refuser à ce sanglant sacrifice ; le fer sacré lui échappe de la main, et ce n’est qu’après les plus violens combats entre le devoir et l’humanité, qu’elle le ramasse et le lève pour en frapper la victime. […] Isménie accourt, l’arrête, et, en embrassant ses genoux, détourne pour un instant les coups, qu’il veut porter ; il jette sur elle des regards épouvantables, il veut en faire sa première victime ; Iphigénie lui arrête le bras ; mais n’écoutant que l’excès de sa rage, il s’élance de nouveau sur Oreste, et le traîne à l’autel malgré les efforts des Prêtresses secondées d Iphigénie ; il lève le bras pour lui porter le coup mortel.
Si potrebbe anche tra questi annoverare un antichissimo passo detto Zoppetto, il quale altro non è, che un passo Tronco dopo il cui movimento rialzato si leva in aria il piè che lo termina, ed appresso, appoggiandolo a terra, bisogna lasciarvisi leggermente su cadere, e ripiegare incontinente i ginocchi, per incominciare un altro Tronco.
[8] Quello “in aria” si fa pure col piede indietro, per esempio il dritto, si piega e si leva in aria l’istesso piede, qual già portato in aria si va distendendo a poco a poco il ginocchio fintanto che arriva alla seconda in aria, da dove si va portando, così disteso com’è, alla quarta stessamente in aria.
Jason est pénétrée de honte et de dépit ; Créuse est saisie de crainte et n’ose plus lever les yeux. […] Cette magicienne paroît triomphante sur un char traîné par des monstres qui vomissent des flammes ; un de ses enfans expire à ses pieds, elle a le bras levé pour frapper l’autre ; Jason se précipite à ses genoux et la conjure d’épargner au moins cette dernière victime ; mais l’implacable Médée se rit de ses prières, met le comble à ses forfaits, et plonge le fer dans le sein du dernier de ses fils ; elle jette à Jason le poignard ; il le saisit avec fureur ; il veut s’en frapper, mais il est désarmé par la haine, la jalousie et la vengeance.