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32. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

L’une était Marie Taglioni qui, au cours de trois saisons, en 1841, en 1842, en 1843, avait maintenu sa vieille réputation ; l’autre était Fanny Cerrito, une Milanaise, qui faisait depuis 1838 la joie de ses compatriotes ; la troisième était Lucile Grahn.

33. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

A la troisième visite, la Lorette arrive en cabriolet, et dit en entrant : Docteur, prêtez-moi donc de quoi renvoyer mon ver rongeur.

34. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Il lui écrit : « … Me voici donc, assis à cette place, abreuvant mon âme de la douceur de ta chère lettre (la troisième) de samedi dernier, et des corolles de fleurs que ta main a cueillies et touchées, et des vers qui les accompagnent, et j’oublie la politique et le monde et je ne pense qu’à toi. » Il la remercie avec chaleur de lui avoir écrit ; il lui en est d’autant plus reconnaissant qu’elle a horreur de prendre la plume ; ce sacrifice qu’elle s’impose est une des meilleures actions qu’elle puisse accomplir dans sa vie.

35. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

La troisième dépend d’une souplesse égale répandue dans tout le corps, et qui tienne le juste milieu entre la roideur et la mollesse ; mais pour guider tout cela, il faut une ame.

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