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109. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

C’était une grande, souple et superbe créature, avec une figure à pans antiques, — grecs ou romains, — comme l’exigeait la mode, — et une taille qui aurait tenu dans la dragonne du sabre de l’un des brillants officiers qui se battaient pour elle, tous les soirs, sous les réverbères.

110. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Gustave Vaez célébrait ainsi cet événement : Taglioni, grande prêtresse De l’art grec aux chastes contours, Le rêve de notre jeunesse, Ce souvenir qui vit toujours, Cette sylphide à l’aile fine Qui voltigeait comme un brouillard, Cette bayadère mutine Agile comme un léopard, C’est bien elle ! 

111. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Après la représentation, le même équipage l’attend à la porte du théâtre, encadré de porteurs de torches et de musiciens qui sont revêtus de costumes grecs.

112. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Mais sa Muse, en français, parlant grec et latin, Avant les premiers ans de l’Opéra françois22, Le caprice tout seul faisait toutes les loix.

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