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117. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

L’œil le plus fin ne s’apercevrait pas de la supercherie, si le tapissier n’eût oublié de prendre ses mesures un peu plus justes, et de ne pas faire la jambe droite plus épaisse que la gauche ; si la gorge, trop élevée, ne faisait soupçonner un estomac en bourre de soie, et si la tunique couleur de chair, s’entr’ouvrant par l’essor des ossements, ne laissait parfois échapper quelques flocons d’une substance qui ne pousse pas sur le corps féminin, mais bien sur le dos d’un être doux et innocent, appelé communément mouton.

118. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

La façade de l’Opéra représentait une montagne, sur le sommet de laquelle était bâti le temple des Arts et de la Liberté ; les tombeaux de Marat et de Lepelletier étaient placés à droite et à gauche : une autre montagne était destinée à recevoir les députés de la Convention, des autorités constituées et des sociétés populaires.

119. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Le quaker fit un demi-tour à droite et disparut.

120. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Gentz était rentré à Vienne l’échine droite et le jarret souple.

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