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54. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XIV. » pp. 77-82

  La Demoiselle Camargo avoit de l’esprit ; et elle en fit usage en choisissant un genre remuant, actif, qui ne laissoit pas le temps aux spectateurs de l’anatomiser et de s’appercevoir de ses défauts de construction.

55. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215

Toutes les descriptions que l’on peut faire de ces sortes d’ouvrages ont ordinairement deux défauts ; elles sont an dessous de l’original, lorsqu’il est passable, ou au dessus lorsqu’il est médiocre. […] Je suis très éloigné de prétendre que mes productions soient des chefs-d’œuvre ; des suffrages flatteurs pourroient me persuader quelles ont quelque mérite, mais je suis encore plus convaincu qu’elles ne sont pas sans défaut. Quoiqu’il en soit, et ce peu de mérite et ces défauts m’appartiennent entièrement.

56. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434

Toutes les descriptions qu’on peut faire de ces sortes d’ouvrages ont ordinairement deux défauts ; elles sont au-dessous de l’original lorsqu’il est passable, ou au-dessus lorsqu’il est médiocre. […] Je suis très-éloigné de prétendre que mes productions soient des chefs-d’œuvres ; des suffrages flatteurs pourroient me persuader qu’elles ont quelque mérite, mais je suis encore plus convaincu qu’elles ne sont pas sans défaut. Quoi qu’il en soit, & ce peu de mérite & ces défauts m’appartiennent entiérement.

57. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Premiers exercices » pp. 109-114

C’est un grand défaut au théâtre, et qui choque les spectateurs ; car il leur fait perdre la charmante illusion de la danse, par la manière désagréable dont on marche dans les moments de repos ou dans l’instant que l’on se présente au public, pour l’exécution du pas.

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