De tous ces bijoux, je rapportai aussi à Paris quelques parures destinées aux premiers sujets du chant et de la danse.
Hommes et femmes en cadence mènent le chant jusqu’au tumulte.
Il y aura toujours quelque chose de boiteux dans ce double exercice de la danse et du chant. » Mlle Albertine Coquillard On lit dans les Petits Mémoires de l’Opéra : « D’un talent agréable, mais d’une beauté plus agréable encore, très courue, très recherchée par les partisans de la danse élégante et légère, mademoiselle Albertine avait plu, beaucoup plu, trop plu en haut lieu.
Il ne suffit pas de marquer la mesure par la fin d’un pas, il faut encore faire ce pas dans le mouvement qui lui convient, et, pour ainsi dire, noter avec les pieds l’expression du chant.