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82. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre quatrième. Étude des bras » pp. 57-63

Il faut que les bras soient sans cesse arrondis tellement, que la pointe des coudes soit invisible ; sans cela, ils formeraient des angles, qui leur enlèveraient la grâce et le contour moelleux, qu’ils doivent toujours présenter ; au lieu des lignes droites, obliques, ou courbées en demi-cercle46, nous n’en verrions que d’angulaires et dépourvues d’élégance47.

83. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Appendice à l’ouvrage — Premiers exercices » pp. 109-114

Eussiez-vous le talent de Gosselin 81, vous devez étudier sans cesse.

84. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre cinquième. Positions principales et leurs dérivés ; » pp. 64-70

Il doit exister sans cesse une parfaite harmonie dans l’exécution de toutes les parties du corps. 

85. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — III, comment je créai la danse serpentine » pp. 22-

Mais quelques mois plus tard mon amie me dit que ce soir-là je ne cessai de faire entendre une sorte de gémissement pareil à celui d’un animal blessé. […] Théâtre du Casino. » Mais tout à coup une chose me frappa au point de faire cesser les battements de mon cœur.

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